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NOTES SUR LE LIVRE DE LA GENESE : chapitres 1-11 : 26 (5)

 
 GENESE : chapitre 9
           1- Le gouvernement confié à l'homme : v. 1-7 
           2- L'alliance de Dieu avec Noé : v. 8-17
           3- La chute de Noé : v. 18-29
GENESE : chapitre 10
           La répartition des peuples sur la terre après le déluge : v. 1-32
GENESE : chapitre 11
           1- La confusion de Babel : v. 1-9      
           2- Le chemin du peuple de Dieu : v. 10-26



GENESE
 : chapitre 9
 
 
               Avec la sortie de l'arche commence une nouvelle dispensation : la domination sur une terre balayée des conséquences du péché est à nouveau confiée à l'homme. Dieu confirme l'alliance contractée avant le déluge ; elle est établie désormais sur la base d'un sacrifice agréé (8 : 21) : l'arc dans la nuée sera le signe de cette alliance.
 
            Etabli pour gouverner la terre, Noé va, hélas, montrer qu'il ne sait pas se gouverner lui-même. La fin du chapitre mentionne plusieurs nations issues de Noé qui seront des ennemies du peuple de Dieu.
 
 
 
            1- Le gouvernement confié à l'homme : v. 1-7
 
 
                        1.1 : Fructification et multiplication (v. 1-2, 7)
 
            La vie recommence sur une terre renouvelée après la purification par les eaux du déluge.
            Cette vie nouvelle pour Noé et sa famille reprend sur deux bases :
                        - les sacrifices offerts (8 : 20)
                        - l'alliance que Dieu fait avec Noé (9 : 8-17).
 
            La bénédiction du commencement (1 : 28) est redonnée par Dieu : elle conduit à la fructification et à la multiplication (v. 1). Désormais, l'homme sera pour les animaux un « sujet de crainte et de frayeur » (v. 2). La nature entière lui est assujettie. Il doit en prendre soin, en particulier des bêtes (Prov. 12 : 10). Mais, n'a-t-il pas abusé de cette domination sur la création ? Depuis lors, celle-ci souffre et soupire après la délivrance (Rom. 8 : 23).Pendant le Millenium, une nouvelle alliance interviendra avec les animaux (Osée 2 : 18).
 
 
                        1.2 : La chair, excepté le sang, pour nourriture de l'homme (v. 3-4)
 
            Les animaux « livrés » entre les mains de l'homme lui sont donnés comme nourriture. Alors que jusqu'ici il consommait l'herbe verte et les fruits des arbres, il peut maintenant se nourrir aussi de ce qui est mis à mort.
            La mort est intervenue à la suite du péché de l'homme ; mais en vertu d'un sacrifice préfigurant celui de Christ, et au travers de la mort (les eaux du déluge), Dieu ouvre le chemin de la vie. La mort devient source de nourriture : le Seigneur nous enseigne à nous nourrir de Lui dans sa mort pour obtenir la vie éternelle (Jean 6 : 53-56).
 
            La loi distinguait entre les animaux purs que l'on pouvait manger, et les impurs dont il fallait s'abstenir (Lév. 11). Mais, sous la grâce, tout est changé : « toute créature de Dieu est bonne... étant prise avec action de grâces » (1 Tim. 4 : 4).
            Toutefois, une restriction demeure : « vous ne mangerez pas la chair avec sa vie, c'est-à-dire son sang » (v. 4 ; Deut.12 : 23). Dieu se réserve le sang, car c'est la vie : l'homme ne doit donc pas s'en approprier. « C'est le sang qui fait propitiation pour l'âme » : Dieu l'a « donné sur l'autel » (Lév. 17 : 11), ayant en vue le sang de son Fils versé à la croix.
            L'interdiction de manger le sang est confirmée par les apôtres qui transmettront cette ordonnance aux assemblées (Act. 15 : 20, 29 ; 21 : 25).
 
 
                        1.3 : L'autorité entre les mains de l'homme (v. 5-6)
 
            Dieu donne à l'homme une responsabilité concernant la vie : Il déclare qu'il « redemandera le sang » d'un homme tué, de tout meurtrier (homme ou bête). Ainsi, un principe nouveau est établi après le déluge : il s'agit du gouvernement rétributif de l'homme, responsable devant Dieu.
            Le sang de l'homme est précieux pour Dieu qui a fait l'homme à son image. On ne peut donc toucher impunément à sa vie : « qui aura versé le sang de l'homme, par l'homme son sang sera versé » (v. 6 ; Ex.21 : 12). La peine de mort s'exerce ainsi envers l'homicide. Dieu en précisera les directives à son peuple, quant à son application (Nom. 35).
 
 
 
            2- L'alliance de Dieu avec Noé : v. 8-17
 
 
                        2 .1 : L'alliance établie sur la base d'un sacrifice (v. 8-11)
 
            L'alliance contractée avant le déluge (6 : 18-19) peut maintenant être établie. Comme plus tard pour Abraham et sa semence, Dieu s'engage seul dans cette alliance qu'Il étend à tous les êtres vivants sur la terre (v. 10).
 
            Dieu ne fait pas dépendre ses promesses de l'état de l'homme : ce qu'Il promet, Il l'accomplit. Dictée par l'amour de Dieu et sa fidélité, cette alliance est inconditionnelle. C'est ainsi qu'Il s'engagera à restaurer Israël pour toujours (Es. 54 : 10).
            L'ancienne alliance était scellée par le sang des animaux sacrifiés : c'était une alliance conditionnelle. La nouvelle alliance, scellée par le sang du Seigneur Jésus (Luc 22 : 10), est traitée pour Israël (Héb. 8 : 10-12). L'Eglise, épouse de Christ, n'entre pas dans cette nouvelle alliance, bien qu'elle soit au bénéfice du sang de la nouvelle alliance.
 
 
                        2.2 : Le signe de l'alliance (v. 12-17)
 
            L'alliance repose sur la fidélité de Dieu : c'est pourquoi la création n'a pas à craindre un nouveau déluge. L'arc-en-ciel est le signe de la promesse de Dieu. Son apparition dans le ciel, au moment d'une averse, est encore aujourd'hui une marque de la grâce divine.
            A travers les orages d'ici-bas, le chrétien peut regarder avec foi vers Dieu : la présence de Christ à Sa droite (Héb. 9 : 12 ; 10 : 12) lui donne la certitude que le jugement est à jamais passé pour lui.
            Amis chrétiens, au sein de nos épreuves, ne perdons pas de vue l'arc dans la nuée : Dieu veille sur les siens.
 
            D'autres passages de la Parole de Dieu mentionnent l'arc dans la nuée (ou l'arc-en-ciel) :
 
                        - Ezéchiel 1 : 28 : alors que la gloire est obligée de quitter le sanctuaire de Dieu, l'arc apparaît, preuve que la grâce de Dieu se déploiera quand l'accomplissement des temps sera venu, avec le retour de la gloire.
 
                        - Apocalypse 4 : 3 ; 10 : 1 : autour du trône d'où sortent les éclairs et les tonnerres, l'arc-en-ciel sera visible (4 : 3) ; il sera aussi sur la tête de l'ange de gloire (10 : 1). Dieu établira sa gloire sur tout l'univers, mais auparavant Il aura exercé les jugements en vue de ce but final.
 
 
 
            3- La chute de Noé : v. 18-29
 
 
                        Après le rappel des noms des fils de Noé sortis de l'arche, et desquels est issue la population « disséminée sur toute la terre » (v. 18-19), le péché de Noé est relaté (v. 20-21).
 
 
                        3.1 : L'ivresse de Noé (v. 20-21)
 
            Noé qui pourtant marchait avec Dieu (6 : 9) s'enivre et se montre dans sa nudité. La Parole de Dieu met en garde le croyant contre ce péché (Osée 4 : 11 ; 1 Pier. 4 : 7 ; Eph. 5 : 18).
 
            Pourtant Dieu ne cesse pas de voir Noé comme un juste qu'Il a couvert lui-même d'une robe de justice. Il va le relever, en couvrant le péché (v. 23 ; Ps. 32 : 1).
            Lorsqu'un croyant a péché, il faut qu'il confesse sa faute (Ps. 51 : 1-6 ; 1 Jean1 : 9), dans ses effets mais aussi dans sa cause.
 
            La défaillance de Noé a manifesté qu'il n'existe aucun bien en l'homme, celui-ci étant incapable de garder fidèlement ce que Dieu lui confie. Cela avait été démontré en Eden et le sera en Canaan, dans l'Eglise et en présence même de la gloire et du bonheur millénaire.
 
 
                        3.2 : Le péché de Cham (v. 22-25)
 
            Cham, le plus jeune fils de Noé, déshonore son père. Il le tourne en dérision à cause de son péché ; il devra subir le châtiment qu'encourt celui dont « l'oeil se moque d'un père » (Prov. 30 : 17)
            Le jugement que prononce Noé sur le péché de son fils prouve que le patriarche a été restauré. Cham est maudit (v. 24) : « maudit qui méprise son père et sa mère » (Deut. 27 : 16). La malédiction atteint toute sa race : elle est marquée par un joug de servitude (v. 25-26).
            Sur Canaan pèse particulièrement cet esclavage ; les Gabaonites et les Cananéens seront rendus tributaires d'Israël (Jos. 9 : 22-23 ; Jug. 1 : 28).
 
            Les frères de Cham, Sem et Japheth, ont une sage attitude : ils voilent le péché de leur père et détournent leurs regards (v. 23). En marchant en arrière pour couvrir la nudité de leur père, ils voient leurs propres faux-pas.
            Aujourd'hui l'indécence s'étale aux yeux de tous ; le monde y prend même plaisir, tout en fermant les yeux sur sa nudité morale. Désirons-nous honorer Dieu en nous détournant de ce qui est un objet de convoitise et en revêtant nous-mêmes une tenue décente ? (1 Tim. 2 : 9 ; 1 Pier....).
 
            L'exemple des frères de Cham est utile aussi pour chaque enfant de Dieu qui désire réaliser l'exhortation : « celui qui couvre une transgression cherche l'amour » (Prov. 17 : 9).
            Couvrir le péché, ce n'est pas rester indifférent à une faute commise, ni la colporter ou même s'en réjouir ; c'est en parler à Dieu et à celui qui a péché, dans un esprit de douceur (Gal. 6 : 1 ; Prov. 11 : 13).
            Ainsi, sera manifesté le véritable amour envers notre frère qui a péché ; « l'amour couvre une multitude de péchés » (1 Pier. 4 : 8). Par la repentance et après la confession de la faute, « la transgression est pardonnée et le péché est couvert » (Ps. 32 : 1).
 
                       
                        3.3 : Sem et Japheth bénis
 
            En communion avec Dieu, Noé, qui a dû maudire la race de Cham, bénit Sem et Japheth.
 
            L'Eternel est appelé « le Dieu Sem » (v. 26) : c'est de la lignée de Sem que naîtra le Christ, car « le salut vient des Juifs » (Jean 4 : 27).
Pour bénir Sem, Noé parle de l'Eternel, nom que Dieu prend en relation avec son peuple ; pour Japheth, il parle de Dieu (v. 27).
 
            Japheth qui hérite de la bénédiction à travers Sem est l'ancêtre des nations occidentales. Celles-ci ne pourront être bénies qu'en demeurant « dans les tentes de Sem » ; elles seront « greffées sur le tronc d'un olivier franc ». Ayant été prêché aux Juifs premièrement mais ayant été rejeté par eux, le salut est parvenu aux nations qui l'ont reçu (Rom. 11 : 17-25). Dieu a étendu son salut par-dessus la muraille qui séparait Israël des nations (Gen. 49 : 22) ; Il a renversé le « mur mitoyen de clôture » (Eph. 2 : 12-16).
            Mais Dieu reste le Dieu de Sem, car toutes les nations se béniront en sa semence (Gen. 22 : 18).
 
 
                        3.4 : La mort de Noé (v. 28-29)
 
            La durée de la vie de Noé a été de 950 ans (v. 29) : elle est comparable à celle des premiers patriarches (chap. 5). Ensuite Dieu écourtera considérablement la vie des hommes.
 
 
 
 
 
 
GENESE : chapitre 10
 
 
               Le chapitre 10 présente la répartition des peuples selon leurs langues, tandis que le chapitre 11 montrera la dispersion des nations après le jugement de Babel. Ce chapitre se place chronologiquement après le début du chap. 11 qui montre qu'à l'origine les hommes ne parlaient qu'une seule langue.
 
 
 
             La répartition des peuples sur la terre après le déluge : v. 1-32
 
 
                        1 : Japheth (v. 2-5)
 
            Les fils de Japheth occupent les nations de l'Occident. Les îles des nations désignent les pays éloignés d'Israël, mais auxquels la grâce de Dieu a fait parvenir le salut (Es. 49 : 1, 4, 6 ; 66 : 19).
 
 
                        2 : Cham (v. 6-20)
 
            Les fils de Cham portent le jugement prononcé sur leur ancêtre et seront souvent opposés au peuple de Dieu.
 
            Ils ont peuplé l'Orient et une partie de l'Afrique :
                        - Cush (v. 6) est le père des Ethiopiens
                        - Mitsraïm, les Egyptiens (l'Egypte est appelée le « pays de Cham » -Ps. 105 : 23-27)
                        - Puter, les Libyens
                        - Canaan, l'ennemi irréductible d'Israël
                        - Babel et le pays de Shinhar (v. 10) : Babylone
                        - Assur (v. 11), l'Assyrie avec Ninive, ennemie du peuple de Dieu et verge de Dieu contre celui-ci.
 
 
                        3 : Nimrod (v. 8-10)
 
            Nimrod, (le « rebelle »), construit une ville, comme les descendants de Caïn (4 : 17). C'est un chasseur qui se fait roi. Son royaume, Babel, se prolonge dans l'Ecriture, soit historiquement, soit symboliquement en rapport avec l'élévation de l'homme qui conduit à la ruine.
 
 
                        4 : Sem (v. 21-31)
 
            Dans la descendance de Sem, se trouve Héber dont est issu Abram (voir chapitre 11). On trouve également des nations qui seront en relation avec Israël : Elam, Assur, Lud et Aram (v. 22)
 
 
 
 
 
 
GENESE : chapitre 11
 
 
            Le chapitre 11 nous ramène au temps qui a succédé au déluge, alors que les hommes jouissaient du privilège de n'avoir qu'une seule langue. Au lieu de l'employer à louer Dieu et à transmettre fidèlement sa révélation, ils ont voulu bâtir un monde éloigné de Lui.
Nous assistons dans ce chapitre à la fondation de Babel (ou Babylone) qui représente le monde avec sa convoitise et son orgueil.
 
 
 
            1- La confusion de Babel : v. 1-9
 
 
                        1.1 : La tour de Babel (v. 1-4)
 
            Nimrod, et les descendants de Cham qui l'ont suivi, ont oublié la grâce divine qui avait épargné leur ancêtre Noé de la destruction. Dans leur folie orgueilleuse, ils prétendent bâtir « une ville et une tour dont le sommet atteigne jusqu'aux cieux » (v. 4) ; cette tour se construit à Shinhar, où l'homme travaille à sa guise, avec ses propres matériaux (la brique pour pierre et le bitume pour mortier – v. 3).
            Les briques constituées d'argile rappellent les origines de l'homme (Job 33 : 6). L'oeuvre de l'homme est vaine : selon l'oeuvre de ses mains, Israël plongé dans l'idolâtrie édifiera un autel de briques pour l'adoration (Es. 65 : 3). Dieu demande à son peuple de bâtir un autel de pierres non taillées, car l'usage du ciseau profanerait l'autel (Ex. 20 : 25).
Le bitume est le produit de la décomposition de végétaux de la terre ; les hommes cimentent leurs oeuvres par la corruption.
 
            La construction de la tour de Babel, symbole de l'orgueil de l'homme et du mépris de son Créateur, a révélé le désir profond du coeur humain de travailler à sa propre gloire : « faisons-nous un nom ». Nous voyons également une prétention à l'unité : « de peur que nous ne soyons dispersés sur la face de toute la terre» (v. 4).
 
 
 
                        1.2 : Le châtiment divin (v. 5-9)
 
            « L'Eternel regarde des cieux... prend connaissance de toutes leurs oeuvres » (Ps. 33 : 13). Il intervient en châtiment : Il confond le langage des hommes de Babel (confusion) et les disperse sur la face de toute la terre (v. 7-8) ; ainsi sont anéantis tous les efforts de l'homme pour se rassembler.
            Cette confusion entretiendra l'opposition entre les peuples et empêchera le maintien de l'unité des grands empires ; elle dévoilera continuellement où conduit la haine entre les hommes et la profonde méchanceté de leur coeur naturel (Tite 3 : 3).
 
            Ce jugement de Dieu à Babel n'a pas détourné l'homme de son désir de s'élever. Le premier empire des nations portera le nom de « Babel », c'est-à-dire Babylone (2 Rois 17 : 24 ; Ezé. 23 : 15).
 
            Aujourd'hui, la Babylone religieuse tend vers son rassemblement ; longtemps morcelée, cette fausse Eglise va réaliser son unité dans l'apostasie, mais elle sera engloutie soudainement dans la destruction (Apoc. 17 : 5 ; 18 : 10, 21).
 
            Les vrais croyants ne sont pas sur le terrain de la confusion, mais celui de l'unité divine. En vertu de la mort de Christ, le Saint Esprit « rassemble en un ceux qui sont dispersés » (Jean 11 : 52). Bientôt, dans un même accord, toutes les langues chanteront les gloires de Dieu et de l'Agneau dans le ciel (Apoc. 5 : 9), comme sur la terre (Apoc. 7 : 9).
 
            Alors que les diverses langues de ce chapitre 11 sont l'expression du jugement de Dieu, celles du chapitre 2 des Actes sont l'expression de sa grâce. Quant à celles des chapitres 5 et 7 de l'Apocalypse que nous venons de citer, elles ont pour fonction d'exalter Sa gloire.
 
 
            2- Le chemin du peuple de Dieu : v. 10-26
 
 
                              Dans la fin du chapitre, depuis le verset 10, nous avons la généalogie de Sem. Elle reprend ici dans un seul de ses fils (v. 10). La lignée d'Héber, mise en évidence au chapitre 10 (v. 21, 25), se retrouve dans ce chapitre et conduit jusqu'à Abraham, le père des croyants.
 
                        Rien n'est dit de l'histoire de ces hommes qui ont été témoins des progrès du mal et de la construction de Babel. Noé ne mourra que deux ans avant la naissance d'Abram, et Sem après la naissance d'Isaac. Héber mourra après Abram et après la naissance de Jacob.
 
                        Héber, d'où vient le nom d'Hébreu, signifie « passage » ; les fils d'Héber sont une génération qui passe. Ce sont des pèlerins et des étrangers sur la terre, attendant quelque chose de meilleur (Héb. 11 : 16).
 
 
                        Abram va être retiré du milieu de l'idolâtrie, par l'appel du Dieu de gloire à sortir de son pays pour aller vers Canaan (12 : 1 ; Act. 7 : 2), en vue de l'accomplissement des conseils de Dieu à l'égard de son peuple.
 
 
 
 
 
 
Une suite de méditations sur la vie d'Abraham est disponible sur le site (articles 166 - 168 - 171), ainsi qu'une méditation sur Genèse 15 (article 236).