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Travailler fidèlement à l’œuvre de Dieu

 

Une mosaïque pour le Maître
L’exemple des disciples lors de la multiplication des pains
La direction du Maître à rechercher avec patience et prière
Quelques exemples de l’intervention de Dieu envers les siens dans l’Ancien Testament
Demeurer dans un état de veille et de jugement de nous-mêmes, afin de réaliser la communion avec le Seigneur et un service utile pour Lui
Pour qui vivons-nous ?
 

            Au seuil d’une nouvelle année de « la patience de notre Seigneur » (2 Pier. 3 : 15), nous aimerions nous encourager, chers amis chrétiens, à « vivre » le reste de notre temps « pour la volonté de Dieu » (1 Pier. 4 : 1-2) et à Le servir « d’une manière qui lui soit agréable, avec révérence et avec crainte » (Héb. 12 : 28). Ne gaspillons pas nos moments de loisir pour ce qui n’est d’aucun profit spirituel ; sachons discerner « les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l’avance, afin que nous marchions en elles » (Eph. 2 : 10). Notre court service sera alors une petite œuvre à la gloire de Dieu, le fruit de sa grâce qui aura pu opérer librement en nous ; ce travail fidèle pourra alors refléter quelque peu les perfections de la « mosaïque » de notre Maître, ainsi que l’évoque le petit récit suivant.

 

Une mosaïque pour le Maître

            Peut-être avons-nous entendu parler de ce grand artiste dont les compositions en mosaïque avaient une très grande valeur. Il employait un jeune apprenti dont l’humble service journalier consistait à nettoyer la pièce où cet artiste travaillait habituellement. Il ramassait les bouts de verre et les  morceaux de pierres rejetés par son maître. Un jour, il lui demanda timidement l’autorisation de les conserver, ce qu’il obtint sans aucune difficulté. Des années passèrent ; tout en accomplissant fidèlement son service, ce jeune homme avait su prendre le temps nécessaire pour trier peu à peu tous les débris récoltés. Il avait d’abord mis de côté ceux qu’il estimait encore utilisables et dont il désirait se servir. Puis il était passé à l’acte.
            Aussi un jour, quand son maître entra dans l’alcôve où se tenait habituellement son serviteur, il commença par jeter, selon son habitude, un regard circulaire. Il découvrit ainsi, plus ou moins dissimulé sous des copeaux de bois, un travail qui n’était pas sans ressemblance avec le sien. Il l’examina, tout étonné de constater son excellente qualité. Il demanda à son aide quel était l’artiste doué qui avait déposé cette belle composition dans son atelier. Son serviteur reconnut que c’était son propre travail ! Il avait, lui aussi, une « âme d’artiste » et avec amour, il avait soigneusement trié ces débris et s’en était servi avec goût pour réaliser cette belle œuvre d’art.
            Chers lecteurs, avons-nous compris la leçon à tirer du comportement tenace et patient de ce jeune homme ? Sommes-nous attentifs à employer soigneusement tout le temps possible pour le service du Seigneur, à saisir jour après jour toutes les opportunités pour servir aux « desseins de Dieu », comme l’a fait David « en sa propre génération » (Act. 13 : 36) ? Quelle que soit notre activité dans ce but, si humble soit-elle,  le Seigneur se plaît à nous la confier. Cherchons donc à l’accomplir avec amour et fidélité.

 

L’exemple des disciples lors de la multiplication des pains

            A l’occasion de l’une des deux multiplications du pain, Jésus a dit à ses disciples : « Ramassez les morceaux qui sont de reste, afin que rien ne soit perdu » (Jean 6 : 12). Ils ont obéi et quel beau résultat a été obtenu : « Ils les ramassèrent et remplirent douze paniers des morceaux qui restaient des cinq pains d’orge, lorsqu’ils eurent mangé » (v. 13) !  
            Prenons à cœur d’imiter l’obéissance des disciples au Seigneur. Ne perdons pas de vue que, rachetés par son sang précieux, « nous sommes son ouvrage » et que nous avons « été créés dans le Christ Jésus pour que nous marchions dans les bonnes œuvres, selon l’enseignement de l’apôtre Paul dans le verset de l’épître aux Ephésiens rappelé dans l’introduction. Nous sommes déjà, par un effet de la grâce de Dieu, « assis dans les lieux célestes » (Eph. 1 : 20), là où Christ est entré comme notre Précurseur ! C’est une place très élevée, mais elle ne nous dispense pas d’être vraiment actifs pour Lui, aussi longtemps que nous restons sur la terre. Des conséquences pratiques découlent de notre salut : ce sont justement les bonnes œuvres que le Seigneur a préparées pour nous ! En servant les siens ici-bas, nous Le servons - avec la force qu’Il fournit (1 Pier. 4 : 11). Dans l’original hébreu, le mot employé pour « bonnes œuvres » est  « poemia », duquel est dérivé en français le mot poème. Nous sommes en quelque sorte son poème et Lui en est l’Auteur. Dès que nous avons reçu le salut par la foi, une vie nouvelle commence. Nos œuvres étaient autrefois souillées, sans aucune valeur ; désormais elles sont bonnes, utiles pour Dieu.

 

La direction du Maître à rechercher avec patience et prière

            Savons-nous discerner la volonté de Dieu et dépendre de Lui dans les moindres détails de leur vie quotidienne ?  Retenons l’exhortation de l’Ecriture : « Ne t’appuie pas sur ton intelligence ; dans toutes tes voies connais-le, et il dirigera tes sentiers » (Prov. 3 : 5-6). Son plaisir est de nous diriger à tous égards ; faisons constamment appel à Lui, notre vie se déroulera d’une façon beaucoup plus paisible et nous serons joyeux dans le Seigneur.
            Ces conseils paraîtront relever de l’enfantillage pour ceux qui marchent selon la « façon de vivre de ce monde » (Eph. 2 : 2) – et il en sera même ainsi pour certains chrétiens plutôt disposés à s’appuyer sur leur intelligence pour tenter de résoudre leurs problèmes journaliers. Mais un moment viendra peut-être où ils se trouveront sans ressources. Leur sagesse sera venue à néant et la Parole dit qu’alors, ils tourneront et chancelleront « comme un homme ivre » (Ps. 107 : 25-27). Sera-t-il encore temps de crier à l’Eternel dans leur détresse ? Lui seul peut, dans ses compassions, nous faire sortir de nos angoisses (v. 28) ; mais n’attendons pas d’être à la dernière extrémité pour aller à Lui - ce serait peut-être alors trop tard !
            Nous trouvons dans l’Ecriture des réponses à notre désir d’obéir à la pensée divine ; il faut s’imprégner de ce que Dieu nous y révèle. Cependant, devant la multitude des questions qui se posent dans notre vie journalière, nous ne trouverons pas toujours aussitôt dans la Parole le chapitre et le verset qui peuvent nous diriger. Il convient alors d’attendre avec patience. Confions-nous entièrement en Dieu et Il nous guidera pas après pas. Si notre œil est « en bon état » (Matt. 6 : 22) - litt : simple, sans duplicité -, il restera fixé sur un seul objet, Christ, et le chemin sera facilement discerné. Dieu veut répondre à tous les besoins de ses enfants, tout est sous son contrôle. Il peut se servir absolument de tout, quand Il le juge bon. Toutes choses Le servent (Ps. 119 : 91) et travaillent en faveur de ses rachetés qui se confient en Lui (Rom. 8 : 28).
            Chaque fois que nous avons un « doute » sur l’attitude à avoir ou le sentier à suivre, demandons au Seigneur sa pensée. Il est toujours prêt à nous écouter et à répondre. Mettons en pratique l’enseignement de ce verset : « Remets ta voie sur l’Eternel, et confie-toi en Lui ; et Lui, Il agira » (Ps. 37 : 5).

 

Quelques exemples de l’intervention de Dieu envers les siens dans l’Ancien Testament

            Dans plusieurs récits de l’Ecriture, nous voyons avec reconnaissance que Dieu intervient, de façon plus ou moins visible, dans les circonstances de la vie des croyants.

                         Joseph (Gen. 37)

            A la demande de son père Jacob, Joseph doit quitter la maison familiale pour aller voir si ses frères, qui gardent le troupeau paternel dans les champs, se portent bien. Or Joseph ne les trouve pas à l’endroit espéré. La Parole dit : « Un homme le trouva, et voici, il errait dans les champs. Et l’homme lui demanda… : Que cherches-tu ? Et il dit : Je cherche mes frères ; indique-moi, je te prie, où ils font paître le troupeau. Et l’homme dit : Ils sont partis d’ici, car j’ai entendu qu’ils disaient : Allons à Dothan. Et Joseph alla après ses frères, et il les trouva en Dothan (v. 15-17). Qui oserait dire, parmi les croyants, que c’est « par chance » que Joseph a retrouvé ses frères et que Dieu n’avait rien à faire avec cet homme qui a trouvé Joseph dans les champs de Sichem ?
            De grands événements sont souvent dus à de « petites causes » inattendues. Quand «  je connaîtrai à fond comme aussi j’ai été connu » (1 Cor. 13 : 12), alors je serai en mesure de comprendre vraiment comment Dieu opère dans la vie de chaque homme. Les rachetés seront remplis d’émerveillement en réalisant à quel point le Seigneur a été très souvent « présent » sans qu’ils en soient conscients, et combien ils Lui sont redevables ! « Il soutient tout par la parole de sa puissance » (Héb. 1 : 3).

                        David (1 Sam. 23 et 30))

            Rappelons deux récits de la vie de David montrant que la présence et la protection de Dieu sont assurées à tous les siens.
            Alors que Saül poursuivait David, un messager vint lui dire : « Hâte-toi, et viens, car les Philistins se sont jetés sur le pays ». Alors Saül « cessa de poursuivre David, et il marcha à la rencontre des Philistins. C’est pourquoi on a appelé ce lieu-là Séla-Hammakhlekoth », ce qui signifie « rocher de la séparation » ou « échappée » (1 Sam. 23 : 27-28). Ensuite « David monta de là et habita dans les lieux forts d’En-Guédi » (24 : 1).
            Tout fut changé par la venue de ce messager vers Saül ! Ce lieu devient alors un mémorial de la délivrance accordée par Dieu à son serviteur fugitif. N’y a-t-il pas aussi pour nous des lieux pour lesquels nous pourrions employer le même mot ? Dieu délivre aujourd’hui les siens qui se confient en Lui, exactement comme Il a délivré David. N’oublions pas les paroles de Jésus : « Quant à vous, les cheveux même de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc pas » (Matt. 10 : 30-31).

            Dans le second récit (1 Sam. 30), David poursuit avec ses hommes les Amalékites qui ont frappé Tsiklag en emmenant leurs femmes prisonnières (v.1). Ils trouvent dans les champs un homme égyptien (v. 11). Ils l’amènent à David, le soignent et lui donnent à manger. Interrogé, le jeune Egyptien raconte sa triste histoire ; son maître l’a abandonné car il était malade. Il révèle que ce sont eux qui ont brûlé Tsiklag par le feu. Puis il accepte de montrer à David et à sa troupe où se trouvent ces Amalékites ; il les y conduit en effet. Les ennemis sont pris au dépourvu et ils sont tous tués. David et les siens recouvrent leurs femmes, leurs familles et ils emportent un grand butin (v. 16-20). Dans cette occasion, Dieu s’est servi d’un instrument apparemment sans valeur - cet homme malade, sans nourriture depuis trois jours, bien incapable à priori d’être en aide à David. Pourtant, grâce à cette aide très inattendue, ce roi remporte une victoire complète (1 Cor. 1 : 27-28).

                        Elie (1 Rois 17)

            Il est évident que c’est Dieu qui a commandé à des corbeaux rapaces de porter à Elie, matin et soir, du pain et de la chair. Dieu n’est pas plus « présent » au moment où il pourvoit ainsi aux besoins de son serviteur qu’au moment où Il envoie ici ou là des provisions nécessaires à une population tout entière.
            Nous apprenons ainsi comment Dieu pourvoit aux besoins, mais Il nous ouvre également les yeux sur la façon choisie pour y répondre. Parfois ces besoins déjà évidents, deviennent subitement urgents. Dieu nous fait connaître les épreuves supportées par les siens, mais aussi la manière qu’Il a choisie pour les délivrer. Ainsi, durant les générations suivantes, ses enfants peuvent dire, en contemplant de si grandes délivrances : « Ils ont crié vers toi, et ils ont été sauvés ; ils se sont confiés en toi, et ils n’ont point été confus » (Ps. 22 : 4-5).  La Parole de Dieu est très riche en récits de délivrances par des moyens extrêmement variés ; ils sont souvent accompagnés de chants de louange et de reconnaissance. Ils sont de nature à encourager les croyants de toutes les époques à mettre leur confiance en Dieu !
            Ne mettons jamais en doute les interventions du Seigneur dans notre vie, chaque jour. Ce serait montrer de l’incrédulité que de vouloir limiter l’intervention divine à ce que nous tenons pour miraculeux et surnaturel. Dieu agit aussi au niveau des choses courantes et ordinaires.

 

Demeurer dans un état de veille et de jugement de nous-mêmes, afin de réaliser la communion avec le Seigneur et un service utile pour Lui

            Notre prospérité spirituelle est en grande partie fonction d’un « désherbage spirituel » régulier. Il est indispensable pour que la communion avec le Seigneur soit, non seulement maintenue, mais qu’elle fasse des progrès. Sans un jugement de nous-même, souvent renouvelé, il n’y aura pas dans notre vie de belle moisson à la gloire de Dieu.
            Si nos enfants découvrent dans un champ de céréales des pavots ou d’autres mauvaises herbes en fleur, ils s’extasient devant leur « beauté ». Or ce sont des plantes nuisibles, et même souvent très toxiques ; chacune s’empare d’une partie du suc secrété par certaines espèces végétales et indispensables pour la bonne croissance du blé. Arracher sans relâche toutes ces mauvaises herbes est un travail répétitif difficile. Il faut être tenace, impossible de s’en débarrasser une fois pour toutes ! Les mauvaises herbes poussent mieux dans certains sols, sous certains climats et parfois alors avec une extrême rapidité. C’est exactement ce qui se passe chez un croyant, aussi doit-il absolument détruire toutes les « herbes » nuisibles, dès qu’elles apparaissent. Il ne peut pas se débarrasser pour l’instant du sol où elles se multiplient à l’envie - la chair ; mais il doit la « tenir pour morte », la laisser ensevelie là où la croix de Christ l’a mise. « Nous sommes morts avec Christ » (Rom. 6 : 8).
            Un chrétien est incapable de se délivrer lui-même de la présence du péché qui est en lui et le fait souvent souffrir. Nous avons besoin du secours du Saint Esprit qui habite désormais en nous. C’est avec son aide que nous pouvons détruire chacune de ces « mauvaises herbes » au fur et à mesure qu’elles apparaissent, quel que soit notre âge. Alors notre « chair » - bien que toujours présente, mais « crucifiée » - ne se manifestera pas (Gal. 5 : 24).
            C’est pendant que les hommes dorment (Matt. 13 : 25) que Satan, qui lui ne dort jamais, sème en abondance au milieu d’eux, de mauvaises graines. D’où l’importance, pour chacun, de veiller et de prier afin de pas entrer en tentation (Matt. 26 : 41). Le Seigneur l’a rappelé à ses disciples, au moment de monter à la croix. Il venait de les trouver endormis, de tristesse dit Luc 22 : 45.
            Arrachons de nos cœurs toutes ces « mauvaises herbes », dès que nous avons conscience de leur présence. C’est le seul moyen pour chaque enfant de Dieu de prospérer spirituellement, pour la joie du Seigneur et celle de son propre cœur.

 

Pour qui vivons-nous ?

            C’est une question simple mais de toute importance ! « L’amour du Christ nous étreint, en ce nous avons discerné ceci, que si un est mort pour tous, tous donc sont morts, et qu’Il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour Celui qui pour eux est mort et a été ressuscité » (2 Cor. 5 : 14-15).
            Vivons-nous pour nous ou pour Lui ? Ne devons-nous pas reconnaître, avec tristesse, que nous devons souvent nous « faire des reproches » à ce sujet ? Notre première tendance n’est-elle pas toujours de chercher à faire tout tourner d’une façon qui nous plaît, où qui nous met « en avant », et nous donne plus d’importance ? Or telle manière de se comporter, c’est vraiment « vivre pour soi-même » totalement différente de celle du Seigneur, homme ici-bas.
            N’avons-nous pas plutôt tendance à choisir d’abord si ce qui nous est présenté nous convient, et dans le cas contraire, à chercher immédiatement à le modifier, selon nos désirs, à notre avantage ? Il ne s’agit pas forcément de choses strictement personnelles, mais peut-être concernent-elles notre famille, nos enfants par exemple, au sujet de leur avenir. Mais nous avons toujours tort d’agir de la sorte ; ce n’est pas chercher leur bien spirituel mais les faire dépendre de nous d’une façon ou d’une autre. La vraie question est celle-ci : de quelle manière dépendons-nous, nous-mêmes, de Christ ? Un principe de base nous est donné par cette parole de Jean Baptiste : « Il faut que Lui croisse et que moi je diminue » (Jean 3 : 30) - c’est impératif !

            Engagé dans l’engrenage de la vie,
            
Je n’ai plus le temps de m’arrêter…
            
Viens, Seigneur, viens, Jésus, libère-moi
            
Et conduis mes pas dans ton chemin.
            
Les jours passent, mais quel est leur sens ?
            
Incontrôlable, le temps fuit…
            
Maintenant, la question se pose à moi :
            
Qu’ai-je fait de tout ce temps ?

            Dans tes mains, je remets ma vie entière :
            
Elle est en sûreté pour l’éternité.
            
Sous ton regard d’amour, je pourrai m’épanouir,
            
Vivant tout près de Toi, le Dieu souverain.

            « Pour marcher d'une manière digne du Seigneur afin de lui plaire à tous égards, portant du fruit en toute bonne œuvre, et croissant par la connaissance de Dieu », il faut que nous soyons « remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle » (Col. 1 : 9-10). N’avons-nous pas besoin de jouir chaque jour de l’intimité de la communion avec le  Seigneur pour marcher d'une manière digne de Lui ? Comme le faisait l’apôtre Paul pour les Philippiens, demandons dans nos prières que notre amour « abonde encore de plus en plus en connaissance et toute intelligence », pour que nous discernions « les choses excellentes », afin que vous soyons « purs et sans reproche pour le jour de Christ, remplis du fruit de la justice, qui est par Jésus Christ, à la gloire et à la louange de Dieu » (Phil. 1 : 9-11).


Ph. L                    Le 31.12.16