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Le croyant et les orages de la vie


           «  Le juste tiendra ferme dans sa voie, et celui qui a les mains pures croîtra en force » (Job 17 : 9).

            S’il y a un changement dans l'histoire mouvementée de votre vie, soyez certains qu’il est en vous et non en Dieu. Cette pensée peut vous réconforter. Tel un navire, votre esprit peut être ballotté sur les vagues de la tentation. Il peut vous arriver de penser que votre pilote vous a délaissé, et de répéter sans cesse: Où est mon Dieu ? Mais ne craignez pas. Le navire qui porte votre destinée spirituelle est en de meilleures mains que les vôtres ; une chaîne d'or, celle de l'amour divin, le relie au trône éternel, et cette chaîne ne pourra jamais se rompre. Celui qui la tient dans sa main vous promet une sécurité absolue. Il vous dit : « Parce que moi je vis, vous aussi vous vivrez » (Jean 14 : 19).
            « Pourquoi es-tu abattue, mon âme ? et pourquoi es-tu agitée au dedans de moi ? », demande le psalmiste. Ecoutez l'exhortation que Dieu lui adresse : « Attends-toi à Dieu » (Ps. 43 : 5). Vous pouvez être certain de surmonter ces vagues orageuses et d’atteindre le port désiré. Mais soyez fidèle à Dieu et assurez-vous que rien n’empêche votre croissance dans la grâce. Prenez conscience que même une chose qui vous semble petite peut retarder vos progrès - un péché que vous vous autorisez, ou une tentation à laquelle vous cédez, peuvent vous coûter bien des larmes et des heures amères en faisant séparation entre vous et Dieu.
            Chaque jour, faites vôtre cette prière : « Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi, et connais mes pensées. Et regarde s'il y a en moi quelque voie de chagrin, et conduis-moi dans la voie éternelle » (Ps. 139 : 23-24).
 

J. R. MacDuff - « LE SEIGNEUR EST PROCHE » (21/10/2015)


                   Flots mugissants, flots en furie,
                   Entourez-moi, je n'ai pas peur;
                   Quoi qu'il en soit, paix infinie,
                   Puisqu'à la barre est mon Sauveur.
                   Le gouvernail de ma nacelle,
                   Oh! quel repos, Jésus le tient.
                   Si dans la nuit mon cœur chancelle,

                   Avec Jésus, oui, tout est bien.