bible-notes.org

Imprimer ou partager la page :

PRENDRE POSSESSION DU PAYS PROMIS
  

Mise en garde d’Israël à l’égard des nations idolâtres de Canaan        
L’entrée dans le pays promis et sa conquête
Un très grand pays restant à posséder ! 
Le temps des Juges et le réveil suscité par Gédéon


            L’apôtre Paul retrace dans la première épître aux Corinthiens le chemin souvent chaotique d’Israël au désert, lié à sa désobéissance continuelle. « Toutes ces choses leur arrivèrent comme types, et elles ont été écrites pour nous servir d’avertissement, à nous que les fins des siècles ont atteints » (1 Cor. 10 : 11). Paul nous avertit de la part du Seigneur : « Ainsi, que celui qui croit être debout prenne garde de ne pas tomber » (v.12). L’état de ce peuple est, hélas, sans changement notable au moment de la conquête de Canaan.
            Pourtant l’entrée en possession de ce pays « ruisselant de lait et de miel » aurait pu être triomphale. L’Eternel avait déjà fait de grandes merveilles en vue de bénir son peuple. Il se proposait maintenant de chasser devant eux, selon ses promesses, les peuples condamnés à la destruction (Ex. 34 : 10-11, Deut. 6 : 19).


Mise en garde d’Israël à l’égard des nations idolâtres de Canaan

            Après la terrible idolâtrie du veau d’or, Dieu rappelle à Israël qu’Il est un Dieu « jaloux » (Ex. 20 : 14, 34 : 14 ; Deut. 4 : 24, 6 : 15 ; Jos. 24 : 19). Il veut être le seul objet de leur adoration. Leur amour sans doute est faible mais il est d’un grand prix pour son cœur !
            Dieu dit à son peuple : « Garde ce que je te commande aujourd’hui… Garde-toi de traiter alliance avec l’habitant du pays dans lequel tu vas entrer, de peur qu’il ne soit en piège au milieu de toi » (Ex. 34 : 11-12).
            Il leur ordonne donc de démolir les autels, de briser les statues et d’abattre les ashères adorées par les peuples cananéens ; leur iniquité est maintenant à son comble (Gen. 15 : 16). Israël ne doit pas s’allier avec ces nations, de peur d’être invité à ces fêtes où ils se prostituaient devant leurs dieux et leur offraient des sacrifices. Ils ne devaient pas manger de leurs sacrifices et encore moins prendre leurs filles pour leurs fils. Dieu les avertit ; certainement ceux-ci ne tarderaient pas à se prostituer également devant les idoles ! Les Israélites devaient veiller à ne pas se faire de dieu de fonte (Ex. 34 : 15-17).
            L’Eternel sait quels sont les pièges que Satan nous tend, et Il connaît nos tendances à y tomber. L’apôtre Jean nous exhorte à la fin de sa première épître : « Enfants, gardez-vous des idoles » (1 Jean 5 : 21). N’acceptons pas les invitations formulées par des voisins incrédules. Il y a des pièges à éviter à l’école et, plus tard, au travail. Ne vivons pas « le reste » de notre vie ici-bas dans les convoitises des hommes (1 Pier. 4 : 2). Laissons-nous guider par un saint désir d’agir désormais selon la volonté de Dieu (Rom. 6 : 5-13). Les incrédules trouvent « étrange » que les chrétiens ne courent pas avec eux dans un même débordement de corruption ; et pour cette raison, ils leur disent des injures (1 Pier. 4 : 4). Restons séparés d’eux, fermement appuyés sur le Seigneur.
            Les Israélites devaient également garder avec soin la « fête des pains sans levain ». Elle durait sept jours ; cette semaine représentait toute leur vie ! Aujourd’hui encore, si un croyant désire plaire au Seigneur, il agira de la même manière (Ex. 34 : 15-18). Se séparer du mal, sous toutes ses formes, est un impératif pour lui !
            Nos cœurs et nos consciences sont-ils attentifs à ce qui est écrit dans la Parole de Dieu ? Sommes-nous désireux de rester séparés de tout ce qui est dans le monde : « la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, l’orgueil de la vie » (1 Jean 2 : 15-16) ?
            L’effondrement spirituel d’Israël doit nous rendre attentifs à notre propre déclin. Nous comprendrons qu’il est indispensable de procéder souvent à un jugement de nous-mêmes. Si nous implorons le Seigneur avec foi, Il « ravivera » son œuvre et se souviendra de la miséricorde (Hab. 3 : 2). Il veut mener en avant son œuvre en nous. Ses compassions, nouvelles chaque matin, sont incessantes (Lam. 3 : 22-24).


L’entrée dans le pays promis et sa conquête

            Josué avait été longuement préparé par la compagnie de Moïse avant que Dieu l’appelle à devenir à son tour le conducteur d’Israël. Son livre raconte la prise de possession - malheureusement très partielle - du pays promis à Israël. Pour le chrétien aujourd’hui, c’est une figure des combats qu’il doit partager pour être en mesure de jouir des bénédictions célestes en Christ qui sont sa part.
            Il est d’abord question de la traversée du Jourdain, une étape indispensable pour entrer dans le pays. Ensuite, Dieu prépare son peuple à la guerre. Il est circoncis dans sa chair à Guilgal et devra sans cesse revenir là où la chair est mise de côté.
            Puis Josué reçoit une vision glorieuse de Christ : l’Ange de l’Eternel se présente à lui, comme le chef de l’armée de l’Eternel ! Ainsi la conquête peut commencer par une victoire complète remportée à Jéricho. Le peuple de Dieu y montre une foi obéissante. Il s’est reposé sur les seules ressources valables, celles reçues d’en Haut. Mais, peu après, cette belle conquête est rapidement éclipsée par une défaite lamentable à Aï. Une très fâcheuse alliance est conclue hâtivement entre les princes d’Israël et des Gabaonites rusés. Ces derniers donnaient l’impression de venir de loin, avec leurs vêtements usés et leur pain rassis partagé avec Israël. En réalité ils étaient des voisins !
            Dans ces deux derniers cas, le peuple n’avait pas, au préalable, recherché la pensée de l’Eternel ! Or, chaque fois que nous nous laissons conduire par notre propre volonté, nous ne tardons pas à tomber dans toutes sortes d’errements. Un désir « d’indépendance » nous y amène toujours.
            Israël aurait dû partir de Guilgal, mais leur petite troupe vient de Jéricho et se rend directement à Aï. Ils se croyaient assez forts pour se contenter d’engager un petit nombre de combattants ! Plus  tard avec les Gabaonites, les princes d’Israël s’estiment assez sages pour décider sans prendre d’abord l’avis de l’Eternel. Or ils n’avaient ni force ni sagesse - et nous non plus ! - elles se trouvent en Dieu seul.
            En dépit de nos infidélités répétées, Dieu reste fidèle à ses promesses. Le livre de Josué ne couvre qu’une faible partie - environ trente ans - de l’histoire de la prise de possession de Canaan par Israël. Mais ce récit est plutôt jusqu’ici une expression de l’énergie de la foi - Caleb en donne un bel exemple (ch.14).
            Il y avait pourtant déjà des cas de désobéissance « ouverte » aux commandements reçus avant l’entrée dans le pays. Chacun peut en lire des exemples dans le livre de Josué (16 : 10 ; 17 : 12-13, 16). Ce n’était qu’un « avant-goût » de la situation tragique qui s’est installée ensuite dans le livre des Juges.


Un très grand pays restant à posséder ! 

            Josué a maintenant avancé en âge. Au zèle et à l’énergie du début succèdent insidieusement au milieu du peuple de l’inaction et de la faiblesse. Cette situation ressemble à nos propres vies ; nous avons aussi pris une part évidente à la ruine déjà très avancée au sein de la chrétienté.
            La question douloureuse que Josué adresse à son peuple nous est posée également : « Jusques à quand vous porterez-vous lâchement à aller prendre possession du pays que l’Eternel, le Dieu de vos pères, vous a donné ? » (Jos. 18 : 3). Que pouvons-nous répondre ?
            Le livre suivant, celui des Juges, s’étend sur environ 450 ans. Durant cette longue période, la désobéissance va provoquer plusieurs défaites. Ce genre de situation tragique s’est également répétée depuis, pendant toute la période de l’Eglise. Le livre de Josué s’apparente à celui des Ephésiens, et celui des Juges à la seconde épître à Timothée. La ruine d’Israël trouve un parallèle avec le déclin actuel de l’Assemblée. Cependant nos cœurs sont encouragés en voyant les ressources constantes de la grâce de Dieu.
            L’Eternel, vu l’infidélité chronique d’Israël, n’est pas resté à Guilgal. Il descend à Bokim, un mot qui signifie « ceux qui pleurent ». L’état du peuple s’aggrave encore, il abandonne le Dieu de ses pères pour suivre les dieux étrangers. Pourtant avertis de se tenir à l’écart, ils donnent souvent leurs filles aux fils des Cananéens (Jug. 2 : 12, 3 : 6).
            Lecteurs chrétiens, il faut s’interroger. Quels sont les « dieux » qui nous attirent aujourd’hui ? S’agit-il, par exemple, des stars de cinéma, des champions sportifs, ou encore d’hommes politiques « en vue » ? Nous serions vite prêts à les aduler ! Toutes sortes de plaisirs corrompus et trompeurs nous sollicitent également.


Le temps des Juges et le réveil suscité par Gédéon

            Dieu est juste : son gouvernement s’exerce, en commençant par son peuple (Jug. 2 : 14-15 ; 1 Pier. 4 : 17). A sept reprises, Israël est « livré » par Dieu dans la main de ses ennemis. Certains, les Philistins se trouvent au milieu d’eux ! L’expression : « Les fils d’Israël firent ce qui est mauvais aux yeux de l’Eternel » se retrouve également sept fois dans ce livre. Dieu se sert de « verges » pour les discipliner (Es. 10 : 5-6).
            Toutefois, Il aime toujours son peuple et dans sa merveilleuse grâce, Il leur suscite des juges (ou des « sauveurs ») qui vont les délivrer quand, accablés, ils crient vers Lui (2 : 16, 18).
            Chacune de ces périodes de « repos » évoque aussi les « réveils » produits plus tard par l’Esprit au milieu de l’Eglise. Mais celle-ci est chaque fois retombée dans le sommeil (1 Thes. 5 : 8).
            Il y a plusieurs réveils dans le livre des Juges. Bornons-nous à évoquer le troisième. Il montre les soins de l’Eternel en vue « d’épurer » ceux qui avaient rejoint Gédéon et semblaient tous avoir la ferme intention de combattre sous ses ordres.
            C’est Madian que Dieu avait envoyé pour « discipliner » Israël de la manière qu’Il avait annoncée : « Un peuple que tu ne connaissais pas, mangera le fruit de ta terre et tout ton labeur ; et tu ne seras qu’opprimé et écrasé tous les jours » (Deut. 28 : 33). Comparable à une armée de sauterelles, ils montaient chaque année et ravageaient tout, vivres et bétail. Leur volonté était d’ôter toute nourriture aux Israélites. Satan agit toujours de cette manière : il nous affame, s’il le peut, au point de vue spirituel !
            Un prophète envoyé par l’Eternel parle à la conscience des Israélites. Il conclut : « Vous n’avez pas écouté sa voix » (Jug. 6 : 10) - celle de Dieu. Cependant, en secret, Dieu a choisi Gédéon, l’instrument de leur délivrance. Il l’a observé, battant du froment dans un pressoir ! Il l’a vu se donner de la peine pour nourrir les siens afin de les mettre à l’abri de la disette (v.11).
            Un Ange de l’Eternel apparaît à Gédéon et l’appelle « fort et vaillant homme ». L’Eternel connaît son courage moral et son réel attachement au Seigneur - malgré l’impression qu’il avait que Dieu les avait abandonnés.
            L’Eternel le regarde - quelle immense valeur a ce regard ! - et il lui dit : « Va avec cette force que tu as, et tu sauveras Israël de la main de Madian. Ne t’ai-je pas envoyé ? » (v. 14). Or, Gédéon est conscient de sa faiblesse, il ne trouve pas de force en lui-même (v. 15). Rien d’étonnant d’ailleurs, elle ne se trouve qu’en Dieu seul (2 Cor. 12 : 10 ; 1 Pier. 4 : 11). Il doit apprendre - et chaque croyant avec lui - qu’avant de servir le Seigneur, il faut renverser, démolir et couper tout ce qui nous entrave et ralentit nos pas.
            Il est impossible qu’une idole demeure dans mon cœur alors que le Saint Esprit y habite. Gédéon prend position, toutefois de nuit, par crainte de la maison de son père (v. 27). Il détruit l’autel de Baal, et coupe l’ashère voisine. Il obéit ainsi au commandement divin. Au matin, il est vraiment surpris d’entendre son père prendre sa défense devant des voisins qui réclament sa mort. Dieu a travaillé également dans le cœur de Joas !
            Très vite alors, des multitudes d’ennemis s’approchent ; ils sont originaires de Madian, d’Amalek et de l’Orient. Ils déferlent sur Israël. L’Esprit de l’Eternel revêt Gédéon : il sonne de la trompette (Nom. 10 : 9) et, nouvelle surprise pour lui, tous les Abiézerites le suivent (v. 34) ! Il demande à Dieu un signe, celui de la toison ; dans sa bonté, l’Eternel le lui donne (v. 39-40).
            Gédéon avait déjà envoyé des messagers demander de l’aide aux tribus voisines. Des hommes d’Aser, de Zabulon et de Nephtali le rejoignent : ils sont désormais 32.000 ! Gédéon se lève alors de bonne heure et, tous ensemble, ils montent à la source de Harod, d’où l’on aperçoit l’immense camp de Madian et de ses alliés (v. 33).
            Mais l’Eternel dit à son serviteur : « Le peuple qui est avec toi est trop nombreux, pour que je livre Madian en leur main, de peur qu’Israël ne se glorifie contre moi » (7 : 2). De telles paroles ont dû paraître étranges à Gédéon. Il se sentait déjà si petit devant ces hordes ennemies. Or soudain, il apprend que Dieu va réduire sa troupe ! Pourtant, ne l’avait-il pas réunie en sonnant de la trompette, revêtu par l’Esprit de l’Eternel ? Mais il fallait que la délivrance vienne uniquement de Dieu. Personne ne pourrait se vanter d’y être pour quelque chose !
            Gédéon, obéissant à Deutéronome 20 : 8, doit d’abord engager tous ceux qui avaient peur à rentrer chez eux. Quel spectacle démoralisant ! Millier par millier, ils s’en vont. Le cœur de Gédéon a dû se fondre en voyant ainsi son armée amputée de plus des deux tiers. Ils ne sont plus que dix mille ! Pourtant, l’Eternel déclare à nouveau à son cher serviteur : « Le peuple est encore nombreux… Je te les épurerai » (v. 4). La foi de Gédéon est mise à rude épreuve, mais il ne donne aucun signe visible de découragement. Dieu fait lui-même le choix de ceux qui vont suivre Gédéon sur le champ de bataille. Toute la troupe doit descendre au bord de l’eau. Là, la plupart prennent tout leur temps
et se penchent sur leurs genoux pour boire. Quelques-uns seulement se contentent de laper rapidement l’eau avec leurs mains. Ils ne sont que 300 : ce sont eux que l’Eternel choisit ! Les sentiments de Gédéon ne nous sont pas révélés, mais nous savons que même notre « gémissement » ne lui est pas caché (Ps. 38 : 9).
            Dieu veille avec un soin jaloux sur l’état de nos âmes. « Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été à la mesure de l’homme ; et Dieu est fidèle, qui ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de ce que vous pouvez supporter, mais avec la tentation Il fera aussi l’issue, afin que vous puissiez la supporter » (1 Cor. 10 : 13).
            Dieu encourage encore Gédéon en se servant du rêve d’un Madianite. Il a invité son serviteur à descendre de nuit, avec Pura, son jeune homme, à proximité du camp de Madian (v. 9-10). Et là, dans l’ombre, il entend un soldat exposer à un de ses camarades la signification du songe qu’il vient d’avoir. Il a vu un pain d’orge rouler dans le camp jusqu’à la tente de Madian et la heurter. Celle-ci tombe, se retourne, sens dessus dessous. L’interprétation donnée par le soldat est lumineuse : « Ce n’est pas autre chose que l’épée de Gédéon, fils de Joas, homme d’Israël : Dieu a livré Madian et tout le camp en sa main » (v.13-14). Que signifie ce gâteau de pain d’orge sans apparence ? C’est Gédéon ! Conduits par l’Eternel, ces quelques hommes, apparemment désarmés, vont tout bousculer en un instant dans le camp ennemi.
            L’Eternel a donné à Gédéon une précieuse confirmation ; il se prosterne, il adore et remonte vers les siens. Ses propos les galvanisent : « Levez-vous, car l’Eternel a livré le camp de Madian en votre main » (v. 15).
            C’est ainsi que les choses se déroulent (v. 25). Gédéon, ce pauvre « pain d’orge », obéit aux instructions de l’Eternel. Dans la nuit, trois groupes de combattants se disposent autour du camp ennemi. Observons à quel point leurs armes sont insolites (2 Cor. 10 : 4) ! Ils tiennent dans une main une cruche vide contenant une torche qui sera allumée au moment voulu par Dieu. Dans l’autre main, ils tiennent une trompette - comme à Jéricho (Jos. 6 : 4). En revanche, ils n’ont ni épée ni lance. L’Eternel combat à leur place.
            On trouve dans la seconde épître aux Corinthiens la signification spirituelle de cette scène : « Nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l’excellence de la puissance soit de Dieu et non pas de nous » (4 : 7). Les croyants sont semblables à ces vases vidés d’eux-mêmes, qui doivent être brisés afin que la lumière de Christ brille au dehors de tout son éclat.
            A la sonnerie éclatante des trompettes, aux lueurs fantastiques des torches sur le flanc de la montagne, tout le camp s’éveille soudain, épouvanté, pris de panique et ils s’entre-tuent !

            Dieu déploie son amour et sa grâce pour secourir les pauvres êtres que nous sommes, « en proie au doute à chaque instant », ainsi que l’exprime un cantique. Si Dieu est pour nous, tous nos ennemis s’enfuient. Il veut que, comme Gédéon, nous nous appuyions sur sa promesse : « Moi je serai avec toi » (Jug. 6 : 16). Imitons aussi la foi de Caleb qui avait eu un avant-goût du pays et pouvait dire : « Montons hardiment et prenons possession du pays… » (Nom. 13 : 31). Que nos cœurs soient réellement attachés à Christ glorifié - une Personne vivante dans la gloire ! En Lui sont toutes nos bénédictions célestes et toutes les ressources pour notre marche sur la terre. Allons vers Lui ; cherchons « ce qui est en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu » (Col. 3 : 1). Appuyés sur Lui, nous pourrons combattre, sans nous montrer lâches et égocentriques. Par la foi, nous serons « plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés » (Rom. 8 : 33) !


Ph. L                                       Le 19-09-2015