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Jésus, Fils bien-aimé du Père
 

 Les types peuvent être divisés en 4 catégories principales
 Des types parmi les personnages bibliques 
 Quelques scènes du Nouveau Testament qui mettent en valeur l'attention du Père pour son Fils
 

            Beaucoup de passages de la Parole nous instruisent quant au prix que la personne de Jésus a pour le Père, et de ses soins pour revendiquer la gloire du Fils, objet de ses délices.
            Jean 3 : 35 : « Le Père aime le Fils et a mis toutes choses entre ses mains » ; 5 : 20 : « Le Père aime le Fils et lui montre toutes les choses qu'il fait lui-même » ; 10 : 17 : « à cause de ceci le Père m'aime, c'est que moi je laisse ma vie afin que je la reprenne ».
            La pensée de Dieu au sujet de son Fils est le fil conducteur du début à la fin de l'Ecriture ; Dieu nous parle de son Fils de la première page de la Genèse jusqu'à la dernière page de l'Apocalypse, à travers des allégories, des analogies ou des types tout au long de l'Ancien Testament.
 

Les types peuvent être divisés en 4 catégories principales :

            1) des choses de la nature : un grain de blé, le rocher, des parfums, l'eau, l'huile, le soleil…ou des objets comme les éléments du tabernacle…
 
            2) des sacrifices : comme ceux du Lévitique qui nous parlent des différents aspects de Christ et de son oeuvre.
                        - l'holocauste : ce que Christ a été pour Dieu à la croix, Christ s'offrant à Dieu (Héb. 9 : 14)
                        - le sacrifice pour le péché : Christ se livrant pour nous (Rom. 8 : 3)
                        - l'offrande de gâteau : la marche parfaite de l'homme Christ Jésus ici-bas avec l'encens qui représente la satisfaction de Dieu voyant la marche de son Fils (Lév. 2 : 1-2)
                        - le sacrifice de prospérité : sacrifice de paix et de communion (notre communion avec Dieu au sujet de l'oeuvre de son Fils -1 Cor. 10 : 18 ; Lév. 7 : 11-36)
 
            3) des évènements historiques : le passage de la mer Rouge ou du Jourdain, Guilgal, les fêtes lévitiques
 
            4) des personnes : Adam, Abraham, Joseph, Moïse, Josué, David, Salomon…
 
 
Des types parmi les personnages bibliques :
 
            La Genèse abonde en figures : Abraham et le sacrifice d'Isaac
                        Son fils Isaac a été épargné car Dieu a donné un substitut qui a été offert à sa place. Il n'y a pas eu de substitut pour Christ à la croix.
            Dans les écrits prophétiques :
                        David est un remarquable type de Christ.
                        Les psaumes dits « messianiques » présentent aussi sa Personne. Le psaume 8 nous dit que celui qui a été fait de peu inférieur aux anges est couronné de gloire et d'honneur. Le psaume 21 donne une anticipation de ce que Dieu fera pour son Fils quand Il l'élèvera et le fera asseoir sur son trône : « tu as mis sur sa tête une couronne d'or fin » (v. 3) Le chapitre 8 des Proverbes montre l'activité commune du Père et du Fils concernant le plan de la rédemption.
            Esaïe parle souvent de Christ :
                        - chap. 9 : c'est sa naissance comme homme ; il est dit qu'un enfant « nous est  » car il est né de femme ; par contre un Fils « nous est donné » car Il était fils de toute éternité.
                        - chap.11 : il décrit les 7 caractères de l'Esprit reposant sur la personne de Christ (que l'on le retrouve en Apoc. 3 : 1 : « celui qui a les sept Esprits de Dieu et les sept étoiles »).
                        - chap. 28 : il évoque la pierre de fondement, éprouvée, précieuse…un sûr fondement (v. 16). C'est ce que le Seigneur affirme à Pierre en Matt.16 : « sur ce roc, je bâtirai mon assemblée ». Pierre reprend cette déclaration dans sa première épître (chap.2) : Christ est le fondement de l'édifice de la grâce dont nous sommes chacun une pierre vivante pour être l'habitation de Dieu.
                        - chap. 49 : 7 : ce sont les soins et les propos du Père envers celui que l'homme méprise, celui que la nation abhorre, le serviteur de ceux qui dominent ; Il lui donnera la domination universelle : des rois le verront, se lèveront et se prosterneront devant Lui.
 
 
Quelques scènes du Nouveau Testament qui mettent en valeur l'attention du Père pour son Fils :
 
            Luc 2 : 8-14
                       Dieu se plaît à entourer l'abaissement du Seigneur de la plus grande gloire, manifestant ainsi le plus haut intérêt pour son Fils bien-aimé.
                       Le prophète Michée (5 :1-5) avait annoncé le privilège de la ville de Bethléhem de voir naître au milieu d'elle le Messie ; mais le peuple d'Israël y est resté indifférent et n'a pas attendu son Messie annoncé par les prophètes, pas plus que l'Eglise professante n'attend le retour du Seigneur. L'annonce de la naissance du Messie par l'ange n'est pas pour les grands de la terre, les chefs du peuple, mais Dieu choisit des hommes simples de ce monde, dignes de la révélation qui va leur être faite. Pensons à cette scène des bergers, environnés de la gloire de Dieu au milieu de la nuit ; un ange du Seigneur vient leur annoncer cet événement unique, la venue du Sauveur, « un grand sujet de joie » (Luc 2 : 10). Est-ce qu'il y eu de la joie au milieu du peuple ? Non, aucun intérêt de la part de celui-ci, sinon Hérode et l'on sait pourquoi.
                       Quand un grand personnage arrive dans une ville, on déploie de grands fastes en son honneur ; ce ne fut pas le cas pour le Seigneur. Le signe de sa venue était des plus humbles : un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche (Luc 2 : 12). Tel fut le premier vêtement du Seigneur mentionné dans l'évangile. Si la terre reste indifférente, le ciel éclate en louange. S'il y avait eu de la joie au ciel lors de la création (Job 38 : 7), combien plus au jour de la naissance du Rédempteur, le seul pauvre qui par sa pauvreté pouvait enrichir (2 Cor. 8 : 9).
                       Aucune adoration de la part des hommes sur la terre, alors la gloire est proclamée dans la scène céleste. Les anges disent : « Gloire à Dieu dans les lieux très-hauts » (Luc 2 : 14). Ils ne chantent pas car ils n'ont pas besoin de salut ; seuls les rachetés chantent (Apoc. 5). Les anges annoncent la venue de la paix sur la terre qui résultera de l'oeuvre d'amour du Seigneur sur la croix. La paix a sa source dans le coeur du Seigneur. Identifiés avec Christ dans sa mort et sa résurrection, nous jouissons d'une paix parfaite.
 
 
            Matt. 2 : 7-12
                       Hérode est préoccupé par la venue d'un autre roi. Il n'y eu aucun accueil de la part du peuple indifférent ; seuls les mages sont venus de loin, choisis et conduits par Dieu pour honorer la venue du Messie. Ils se réjouissent d'une fort grande joie; se prosternent; lui rendent hommage ; « ils lui offrirent des dons, de l'or, et de l'encens, et de la myrrhe » (Matt. 2 : 11).
                       Notons qu'ils ne rendent pas hommage à Marie mais au petit enfant. Le Père veut que l'arrivée de Jésus soit honorée par les hommes de son choix. Les dons correspondent à ce qu'est Jésus dans la pensée de Dieu. L'or est ce que l'on apporte à un roi (la reine de Sheba a apporté de l'or à Salomon) ; l'encens est ce que l'on présente à Dieu (Ex. 28) ; la myrrhe représente les souffrances qui allaient être sa part de sa naissance jusqu'à la croix (la myrrhe était le premier aromate, parmi les 4 qui composaient l'huile de l'onction sainte : Ex. 30 : 23).
                       Ces 3 offrandes attestent que Jésus était Roi, Dieu, et qu'Il sera l'Homme de douleur.
 
 
            Luc 2 : 41- 51
                       C'est le seul passage qui nous parle de l'enfance de Jésus. Il aurait pu enseigner les docteurs mais Il écoute et interroge ; il est parfaitement resté à la place qui convient à un enfant devant des anciens. Cependant l'intelligence de ses réponses montrait sa supériorité reconnue par ces docteurs qui s'en étonnaient. Jésus est distingué, au-dessus de tous.
                       Il était soumis à ses parents alors qu'il avait mille fois plus qu'eux de connaissance; quel exemple pour les jeunes !
 
            Matt. 3 : 13-17
                       Le Seigneur est au début de son ministère. Après avoir été présenté par Jean Baptiste, Jésus rejoint son peuple au bord du Jourdain et se joint à lui dans le baptême de la repentance alors qu'Il n'avait aucun motif de se repentir ! Mais Il veut montrer ainsi que ce n'est que par la repentance que l'on peut s'approcher de Dieu.
                       La repentance est la première nécessité pour être en relation de vie avec le Seigneur. Pierre a prêché d'abord la repentance. Elle consiste à porter sur nos péchés et sur notre état de pécheur le même jugement que Dieu. Pierre n'a pas dit : « Seigneur, retire-toi de moi parce que j'ai commis des péchés », mais « car  je suis un homme pécheur » (Luc 5 : 8). Il s'agit de porter un jugement selon Dieu sur ma vieille nature.
                       Cependant le Père ne veut pas qu'il y ait de méprise au sujet de son Fils. Quand il remonta de l'eau, « les cieux lui furent ouverts » (Matt. 3 : 16) ; il n'est pas dit seulement : les cieux furent ouverts ! En Luc 3 : 21, c'est : « le ciel s'ouvrit ». L'Esprit descend sur lui comme une colombe et une voix venant des cieux dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai trouvé mon plaisir » (Matt. 3 : 17). Il reçoit « honneur et gloire » de Dieu le Père qui trouve son plaisir dans la personne de son Fils (2 Pier. 1 : 17).
 
            Matt.  4 : 1-11
                       Le Seigneur est tenté 3 fois par Satan ; Il n'a jamais été tenté par le péché parce qu'il n'y avait pas de péché en Lui (1 Jean 3 : 5). Nous, nous sommes tentés par le péché parce que Satan trouve en nous la chair pécheresse. Dieu a été pleinement honoré et satisfait par la victoire de son Fils sur Satan, victoire remportée par sa Parole. En réponse, Dieu envoie des anges pour le servir ; c'est le sceau de son approbation.
 
            Matt. 17 : 1- 8
                       Sur la montagne de la transfiguration, les 3 disciples (Pierre, Jacques et Jean) ont besoin d'être encouragés ; aussi il leur est donné de contempler la gloire du Seigneur (comp. Apoc. 21 :10).
                       Pierre, dans sa spontanéité et son manque de réflexion, désirant prolonger ce moment, propose de faire trois tentes. Il ne se rend pas compte qu'il met ainsi sur le même niveau le Seigneur et deux serviteurs, si illustres qu'ils furent.
                       Moïse, le législateur, est ici un type de ceux qui sont morts en Christ, tandis qu'Elie représente ceux qui seront transmués, car il a été enlevé au ciel sans passer par la mort (1 Thes. 4 : 16-17). Deux hommes ont été enlevés au ciel sans passer par la mort : Hénoc et Elie. En Apoc. 19 : 20, deux autres, la bête et le faux prophète, seront jetés dans l'étang de feu sans passer par la mort.
                       Dieu ne permet pas cette assimilation et met à part son Fils bien-aimé. Il y a cette voix qui retentit à nouveau du ciel : « Celui-ci est mon Fils bien aimé en qui j'ai trouvé mon plaisir; écoutez-le ». Dieu ajoute ici « écoutez-le » comme s'il voulait dire aux Juifs : « vous n'avez écouté jusqu'ici ni Moïse ni les prophètes ; vous n'avez plus d'autre ressource que d'écouter mon Fils bien-aimé ».
                       D'une scène de gloire, comme celle d'Apocalypse 5, le thème de louange est Christ et son oeuvre. Ici, la loi (Moïse) et les prophètes (Elie) qui ont témoigné par avance de Christ sont retirés pour faire place à Celui qu'ils ont annoncé.
 
 
            Luc 22 : 39-46
                       C'est le combat de Gethsémané ; comme les disciples, nous nous tenons à distance. Il s'agissait des souffrances du Seigneur par anticipation, un combat que lui seul pouvait soutenir ; Satan veut le détourner du chemin de l'obéissance, car il sait que par la mort de Christ il sera vaincu. Le sol maudit qui reçoit la sueur de l'homme condamné à la peine du travail, recueille dans le jardin la sueur de l'homme parfaitement obéissant.
                       Au jardin d'Eden, l'homme s'est élevé, alors qu'au jardin de Gethsémané, le Seigneur s'abaisse. Dieu n'abandonne pas encore son Fils bien-aimé : un ange est envoyé pour le fortifier, Lui, son créateur. Cela nous a fait sentir la sensibilité du coeur du Père pour son Fils bien-aimé
 
 
            Jean 19 : 17-18
                       Avant d'être le centre du rassemblement, de la gloire éternelle, le Seigneur fut le centre de la réjection, mis au rang des malfaiteurs.
 
            Jean 19 : 19- 22
                       Dieu avait conduit Pilate à inscrire sur l'écriteau qu'il fit : « Jésus le Nazaréen, le roi des juifs ». Dieu sauvegarde la gloire royale de son Fils et ne permet pas que le texte soit modifié ; Jésus est le roi des juifs. Il n'a pu établir son royaume terrestre circonscrit à Israël et fondé sur une vraie repentance, mais Il n'a jamais renoncé à son titre de roi (Matt. 27 : 11), ni au royaume. Il a dit à Pilate : « maintenant, mon royaume n'est pas d'ici », sous-entendant que plus tard, tous les royaumes du monde lui seront soumis quand Il entrera dans son royaume millénaire.
 
            Jean 19 : 23
                       Sa tunique était sans couture : renonçant à la déchirer, les soldats la tirent au sort, accomplissant ainsi les Ecritures sans le savoir (Ps. 22 : 18).
                       Quand il y a un héritage à supprimer, l'élémentaire convenance est d'attendre la mort du testateur. Pour le Seigneur on n'a pas attendu sa mort pour se partager ses vêtements qui étaient ses seuls biens terrestres !
                       La tunique parle du ministère du service, celui du Seigneur était d'une unité et d'une perfection divines. Dans ses soins, Dieu veille même à ce que les vêtements de son Fils ne soient pas déchirés, afin qu'aucune atteinte soit portée à la gloire de son ministère.
 
            Jean 19 : 30
                       Jésus après avoir glorifié Dieu sur la terre a achevé l'oeuvre expiatoire et dit : « C'est accompli » ; puis Il baisse la tête et remet son esprit
                       Dans l'évangile du Fils de Dieu, le Seigneur ne soumet à personne l'approbation de son oeuvre. Lui-même, le déclare. C'est l'oeuvre qui est accomplie, tout l'accomplissement du conseil de Dieu n'est pas produit mais tout est acquis. Il n'y a rien à ajouter à cette oeuvre pour que tout le propos divin soit réalisé : son assemblée, l'enlèvement et la glorification des saints, les nouveaux cieux et la nouvelle terre.
                             Il baisse la tête. Jusqu'ici, il n'avait pas eu un lieu où reposer sa tête, il peut se reposer maintenant quant à la question du péché, en attendant le « repos sabbatique ». Par la foi, nous entrons déjà dans le repos de Dieu (Héb. 4 : 9).
 
            Jean 19 : 31- 32
                       Dieu veille sur le corps de son Fils, afin qu'aucun de ses os ne soit cassé. On ne devait casser aucun os de l'agneau pascal qui préfigurait l'Agneau de Dieu. Les mentions d'os brisés dans la Parole ne s'appliquent pas au Seigneur (par ex. le brisement moral de David au Ps. 51 : 8 ou la souffrance du résidu fidèle en Lam. de Jér. 3 : 4). Comme il n'y a pas de division dans le corps spirituel de Christ qui est l'assemblée (1 Cor. 12 : 25 ; Eph. 1 : 23), il ne pouvait avoir de fracture dans le corps physique du Seigneur. C'est une entité indivisible, existante, que nous sommes appelés à proclamer, non à créer. Comme le corps est Un, le peuple de Dieu est Un, qu'il s'agisse d'Israël ou de l'assemblée. Cette réalité glorieuse est figurée dans les 12 pierres qui ont été placées dans le lit et sur la rive du Jourdain, comme aussi les 12 pierres dressées en autel par Elie, malgré la dispersion du peuple. L'apôtre Jacques adresse son épître au 12 tribus qui sont dans la dispersion. Comme il y a un seul pain, il y a un seul corps. Néanmoins, la réalité du corps de Christ constitué de tous les rachetés du Seigneur sur la terre est à distinguer de la communion réalisée à la table du Seigneur.
 
            Jean 19 : 41
                       Par ces 2 hommes, Joseph d'Arimathée et Nicodème, Dieu prend soin du corps de son Fils. Le sépulcre et le linceul sont neufs parce qu'ils ne devaient pas avoir eu contact avec la souillure de la mort avant de contenir le corps de Jésus : « tu ne permettras pas que ton saint voie la corruption » (Ps. 16 : 10).
                       Le corps de Jésus est enveloppé avec des aromates : une mixtion de myrrhe et d'aloès. La myrrhe parle des souffrances et l'aloès de l'odeur qui se dégage de la mort (Cant. 4 : 14). A la naissance de Jésus, il n'y avait que la myrrhe (Matt. 2 : 11). Ici l'aloès l'accompagne et dans le Psaume 45 : 8 où le Seigneur est vu glorifié, il y a en plus la casse qui préfigure la gloire inflétrissable de Christ. La glorification du Seigneur dans le ciel n'effacera pas le souvenir de ses souffrances, ni celui de sa mort.
 
 
            Philippiens 2 : 6 -11
                       « C'est pourquoi Dieu... » : cette expression fréquente indique ce que Dieu fait pour  son Fils. Dès avant sa naissance, à sa naissance, à sa mort, à sa résurrection, Christ est l'objet de tout l'amour du Père. Jésus ressuscite par la propre puissance de Dieu qui l'accueille (épître aux Hébreux). Après lui avoir été fermé pendant les trois heures sombres, le ciel lui ouvre ses portes et Dieu le salue comme souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchisédech pour l'éternité, pour que coule le fleuve de la grâce (Héb. 5 : 9-10).
                       Mardochée jadis méprisé, fut revêtu du vêtement royal et promené à travers la ville sur le cheval royal. On criait devant lui : « C'est ainsi qu'on fait à l'homme que le roi se plaît à honorer » (Est. 6 : 9). Telle est la réponse du Père à l'abaissement volontaire de son Fils : « C'est pourquoi aussi Dieu l'a haut élevé... à la gloire de Dieu le Père » (Phil. 2 : 9-11).
 
                                                   P. C. - Notes prises lors d'une méditation (29/10/06)