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Anne, la mère de Samuel


Hophni et Phinées
Elkana, un homme religieux
Un Nazaréen pour Dieu
Un enfant pour être à l’Éternel
La croissance dans l’obéissance

 

Hophni et Phinées

            « Et il y avait un homme de Ramathaïm-Tsophim, de la montagne d’Éphraïm, et son nom était Elkana, fils de Jerokham, fils d’Élihu, fils de Thohu, fils de Tsuph, Éphratien ; et il avait deux femmes : le nom de l’une était Anne, et le nom de la seconde, Peninna. Et Peninna avait des enfants, mais Anne n’avait pas d’enfants. Et cet homme montait chaque année de sa ville pour adorer l’Éternel des armées et lui sacrifier à Silo ; et là étaient les deux fils d’Éli, Hophni et Phinées, sacrificateurs de l’Éternel » (1 Sam. 1 : 1-3).

            Ce premier paragraphe se termine avec une phrase qui nous étonne peut-être un peu, et pourtant c’est une clé pour comprendre la pensée d’Anne : « Là étaient les deux fils d’Éli, Hophni et Phinées, sacrificateurs de l’Éternel ». Nous ne voulons pas jeter un regard trop précis sur ces deux hommes. Ce n’est que plus tard seulement que nous apprenons quelle était leur façon d’agir. Ils étaient des sacrificateurs de l’Éternel, des hommes qui avaient des devoirs dans le temple, dans la tente d’assignation, des hommes qui devaient comprendre ce que c’est que la sainteté de Dieu en allant dans le sanctuaire, un lieu où la sainteté de Dieu se trouve et doit être vue et ressentie. Même le souverain sacrificateur n’avait le droit d’entrer dans le lieu très saint du sanctuaire qu’une fois par an, seulement le grand jour des propitiations, et non pas sans le sang (voir Lév. 16). Il y avait donc aussi un sacrifice nécessaire. Le sacrificateur était le représentant du peuple devant Dieu d’une part et d’autre part le représentant visible de Dieu pour le peuple. Ce sont là les deux côtés du service du sacrificateur. C’était donc un homme qui devait être caractérisé par la sainteté. Avec Hophni et Phinées, c’était tout à fait le contraire.


Elkana, un homme religieux

            « Et il arriva que le jour où Elkana sacrifia, il donna des portions à Peninna, sa femme, et à chacun de ses fils et de ses filles ; mais à Anne il donna une portion double, car il aimait Anne ; mais l’Éternel avait fermé sa matrice. Et son ennemie la chagrinait aigrement, afin de la pousser à l’irritation, parce que l’Éternel avait fermé sa matrice. Et Elkana faisait ainsi d’année en année. Chaque fois qu’elle montait à la maison de l’Éternel, Peninna la chagrinait ainsi ; et elle pleurait, et ne mangeait pas. Et Elkana, son mari, lui dit : Anne, pourquoi pleures-tu ? et pourquoi ne manges-tu pas ? et pourquoi ton cœur est-il chagrin ? Est-ce que je ne vaux pas mieux pour toi que dix fils ? » (v. 4-8).

            Ces versets décrivent déjà l’état moral très bas du peuple d’Israël. Elkana semble être encore un homme avec une certaine religiosité. Il comprend qu’il doit être obéissant à cette loi que Dieu avait donnée, que tous les mâles devaient venir trois fois par an devant la tente d’assignation pour les trois fêtes des jours solennels de l’Éternel, c’est-à-dire la Pâque, la fête des semaines (la Pentecôte) et puis la fête des tabernacles. Il semble qu’Elkana y venait, et encore avec sa famille. Elkana est ainsi apparemment un homme fidèle, un homme spirituel. Mais, quant au côté spirituel de sa vie, il n’est pas à la hauteur de sa femme. Et pourtant il veut être fidèle : il a fait aussi un vœu (v. 21b). Mais il ne comprend pas très bien le chagrin de sa femme qui n’était pas seulement de ne pas avoir un enfant. Elle voulait avoir un enfant mâle, qui soit voué à l’Éternel - un homme dans le peuple d’Israël qui serait voué à l’Éternel.


Un Nazaréen pour Dieu

            « Et Anne se leva, après qu’on eut mangé à Silo, et après qu’on eut bu ; (et Éli, le sacrificateur, était assis sur un siège près de l’un des poteaux du temple de l’Éternel); et elle avait l’amertume dans l’âme, et elle pria l’Éternel et pleura abondamment. Et elle fit un vœu, et dit : Éternel des armées ! si tu veux regarder à l’affliction de ta servante, et si tu te souviens de moi et n’oublies pas ta servante, et que tu donnes à ta servante un enfant mâle, je le donnerai à l’Éternel pour tous les jours de sa vie ; et le rasoir ne passera pas sur sa tête » (v. 9-11).

                        Le vœu d’Anne

            Pourquoi fait-elle encore un vœu ? Nous ne faisons pas de vœu, nous comprenons bien. Pour Anne c’était encore quelque chose que Dieu lui permettait et elle voulait absolument remplir ce vœu-là. Elle savait que cela correspondait à la pensée de Dieu. Un homme voué à Dieu. Elle s’adresse à Dieu et Lui dit : « que tu donnes à ta servante un enfant mâle, je le donnerai à l’Éternel pour tous les jours de sa vie ; et le rasoir ne passera pas sur sa tête ». Voilà un des signes très clairs d’un nazaréat comme nous le lisons dans le chapitre 6 du livre des Nombres où quelqu’un pouvait se vouer à l’Éternel, être là pour lui, chercher à connaître ses pensées et les suivre, être obéissant à la loi de l’Éternel, avec compréhension, avec un cœur qui est prêt à chercher et à accomplir les pensées de l’Éternel.

                        Consécration à Dieu

            L’Écriture nous dit que pour un homme c’est un déshonneur quand il a les cheveux longs, en contraste avec la femme pour qui c’est un honneur (1 Cor. 11 : 14-15). Pour la femme chrétienne, c’est un signe de la soumission à son mari ; étant soumise à son mari, elle est soumise à Dieu, au Seigneur. Il aime voir cette soumission chez nos sœurs qui aiment le Seigneur.
            Pour cet enfant mâle qui devait naître, le rasoir ne devait pas passer sur sa tête, c’est-à-dire qu’il ne devait pas avoir les cheveux coupés. Il devait prendre une place de soumission, une place de dépendance. C’est quelque chose de spécial et nous pouvons, aujourd’hui, le comprendre. Bien sûr, il y avait encore l’autre aspect du nazaréat : il ne fallait pas prendre du vin, tout ce qui a à faire avec les joies terrestres, les choses de la chair. Non, il fallait être uniquement pour Dieu et nous pouvons comprendre qu’aujourd’hui nous ne faisons pas cela pratiquement, mais nous pouvons le faire dans un sens spirituel, être vraiment voués au Seigneur, prendre une place de consécration.

                        Être soumis les uns aux autres dans la crainte de Christ

            Pour le mari croyant, qui est un frère parmi les frères, nous avons aussi cette belle parole de l’apôtre Paul : « soyez soumis les uns aux autres dans la crainte de Christ » (Éph. 5 : 21). La soumission, c’est quelque chose qui, aujourd’hui encore, peut être souligné. Est-ce que j’arrive à prendre la place de soumission ?
            « Soumis les uns aux autres dans la crainte de Christ », cela veut dire que nous avons tous ensemble à nous mettre sur nos genoux devant notre Seigneur et rechercher là sa pensée. Alors le Seigneur est à même de nous montrer aussi quelle est sa pensée, même dans ces décisions dont nous ne savons pas si elles sont à prendre ou non, même pour des choses d’ordre inférieur, comme nous disons quelquefois.
            Voilà ce qui est aussi un trait de caractère de cet homme sur la tête duquel le rasoir ne passe pas, mais où chacun de nous veut vraiment prendre spirituellement cette place de dépendance et de soumission.


Un enfant pour être à l’Éternel

            « Et ils se levèrent de bonne heure le matin, et se prosternèrent devant l’Éternel ; et ils s’en retournèrent et vinrent dans leur maison, à Rama. Et Elkana connut Anne, sa femme ; et l’Éternel se souvint d’elle. Et il arriva que, quand les jours furent révolus, Anne, ayant conçu, enfanta un fils ; et elle appela son nom Samuel, car je l’ai demandé à l’Éternel. Et Elkana, son mari, monta avec toute sa maison pour sacrifier à l’Éternel le sacrifice annuel et son vœu. Mais Anne ne monta pas, car elle dit à son mari : J’attendrai jusqu’à ce que l’enfant soit sevré ; alors je le mènerai, afin qu’il paraisse devant l’Éternel et qu’il habite là pour toujours. Et Elkana, son mari, lui dit : Fais ce qui est bon à tes yeux, demeure jusqu’à ce que tu l’aies sevré ; seulement, que l’Éternel accomplisse sa parole ! Et la femme demeura, et elle allaita son fils jusqu’à ce qu’elle l’eût sevré. Et sitôt qu’elle l’eut sevré, elle l’emmena avec elle, avec trois jeunes taureaux, et un épha de farine et une outre de vin ; et elle le mena à la maison de l’Éternel à Silo ; et l’enfant était très jeune. Et ils égorgèrent le taureau, et ils amenèrent le jeune garçon à Éli. Et elle dit : Ah, mon seigneur ! Ton âme est vivante, mon seigneur, je suis la femme qui se tenait ici près de toi pour prier l’Éternel. J’ai prié pour cet enfant, et l’Éternel m’a accordé la demande que je lui ai faite. Et aussi, moi je l’ai prêté à l’Éternel ; pour tous les jours de sa vie, il est prêté à l’Éternel. Et il se prosterna là devant l’Éternel » (v. 19-28).

                        Un désir qui n’était pas égoïste

            Il est très beau de voir que la prière d’Anne est une prière qui n’est pas égoïste. On pourrait penser : elle voulait absolument avoir un fils, comme les autres, comme l’autre femme, Peninna. Est-ce là le désir d’Anne ? Eh bien, nous voyons que ce n’est pas un désir égoïste, c’est un souhait qu’elle a pour le Seigneur, parce qu’elle est prête tout de suite à le donner à l’Éternel. Elle ne veut pas le garder pour elle. Elle voulait qu’il y ait un homme dans le peuple d’Israël que Dieu pourrait employer. Bien sûr nous voyons aussi que Dieu met dans son cœur cette pensée. En fait Dieu veut que ce qu’Anne exprime soit Sa pensée. Elle ne le sait pas encore, je pense, quand elle fait ce vœu et c’est quand même la pensée de Dieu parce que Dieu veut qu’Anne ait un fils.

                        Une position de dépendance

            Parce qu’il connaît le cœur d’Anne, Dieu sait qu’elle sera la femme par laquelle il y aura un fils qui sera aussi élevé pour être un homme pour Lui. Nous avons là ces deux côtés. D’abord ce désir chez elle : c’est pour Dieu, non pas pour elle ; deuxièmement nous avons aussi cette responsabilité qu’elle prend elle-même pour l’élever dans le sens du caractère que son fils devait revêtir. C’est pour cela qu’elle va dans sa maison. Elle ne donne pas son enfant à quelqu’un d’autre. Elle reste un moment à la maison et son mari est maintenant d’accord avec elle pour qu’elle reste là pour allaiter et pour sevrer son enfant.
            Le mot « allaiter » peut être pris dans un sens spirituel. Allaiter son enfant a un sens normal, naturel, nous le comprenons. Mais dans un sens plus élevé, allaiter son enfant, c’est lui donner de la nourriture. Quelle nourriture voulait-elle donner à son fils, ce fils qui devait être voué à l’Éternel ? Il y a une nourriture qui le rendra apte à être déjà un petit enfant qui pourra servir, servir dans les petites choses. Il nous est présenté en cela quelque chose pour nous. Que nous soyons un frère ou que nous soyons une sœur, nous avons chacun le désir de prendre cette place de soumission. C’est toujours la bonne place. Pourquoi ? Parce que c’était la place que le Seigneur a prise. En cela Il est pour nous un grand exemple, l’exemple suprême. Est-ce que nous voulons avoir une meilleure place que Lui ? Eh bien, non, chacun de nous va dire non, si nous comprenons bien, si nous retenons bien que le Seigneur a pris cette place de dépendance et de soumission. La soumission c’est aussi l’obéissance. Est-ce que je veux avoir une autre place ? Eh bien, non ! Si je veux suivre mon Seigneur, je veux aussi montrer quelque chose de son caractère.

                        Un enfant élevé pour le Seigneur

            Nous apprenons aussi ce que doivent être nos pensées quand nous avons un enfant. Nous pensons souvent que notre enfant doit avoir une meilleure vie que nous. Très souvent c’est ce qu’on pense et on croit que c’est bien : mon enfant ne doit pas passer par des épreuves comme celles que j’ai dû connaître. Ah ! non, je vais tout faire pour qu’il ait vraiment une bonne place. C’est bien naturel, n’est-ce pas, que nous désirions que nos enfants apprennent quelque chose pour pouvoir subvenir à leurs besoins. Mais est-ce que je cherche autre chose, est-ce que je cherche peut-être même à me retrouver dans mon enfant ? Il y a aussi quelquefois cette pensée : là où moi je ne suis pas arrivé, je veux au moins que mon fils arrive. Et je me vois un peu dans mon fils, je vois un succès. Assurer le succès de mon fils, c’est aussi mon succès. Non, ce n’est pas cela.
            Il y a un autre chemin : allaiter l’enfant, donner la nourriture, la bonne nourriture à notre enfant, une nourriture qui l’amène à être obéissant, une nourriture qui l’amène à aimer le Seigneur. Nous espérons, nous prions afin que les enfants se convertissent très tôt. C’est une très grande grâce quand nous pouvons dire de notre enfant de dix ans : il est au Seigneur. Quelle joie pour le cœur d’un père, d’une mère, de savoir que lui aussi, si le Seigneur Jésus vient aujourd’hui, il va L’accompagner au ciel comme moi ! C’est une grande joie ! Nous aimons aussi que l’enfant apprenne cette soumission, apprenne aussi la modestie qui nous permet d’être plus petit que l’autre. Nous aimons aussi que notre enfant, notre fils, notre fille, apprenne les pensées du Seigneur dans l’Écriture. Nous aimons qu’il comprenne ce qui nous tient à cœur.

                        Une place bénie autour du Seigneur

            Chers amis, est-ce que cela nous tient à cœur de connaître un lieu où le Seigneur est au centre ? Quelle place nous pouvons avoir, avec la présence du Seigneur au milieu de nous ! Nous ne Le voyons pas, mais Il est là et nous pouvons connaître une telle place. Cette place doit nous être particulièrement chère : aller là et être là, doit être notre priorité. Il y a bien des choses que nous trouvons très importantes dans notre vie de tous les jours, mais cette place-là est la place où le Seigneur aime nous voir. Peut-être qu’Il nous dit quelquefois : J’aurais bien aimé te voir, j’avais aussi quelque chose pour toi, mais tu n’étais pas là… Est-ce que cela nous fait quelque chose quand nous manquons ? Pouvons-nous montrer cela, imprimer cela sur le cœur de notre enfant, de notre fils ou de notre fille qui grandit, une chose que l’enfant remarque vraiment. Il dira : Voilà ce à quoi mon père, ma mère, tiennent ; c’est là ce qui est leur première pensée. Que vraiment les enfants remarquent aussi que c’est notre vrai désir, notre premier désir, de plaire au Seigneur et d’être là où Il est quand il nous invite !
            Ainsi c’est cela allaiter son enfant jusqu’à ce qu’il soit sevré, c’est-à-dire jusqu’au moment où l’enfant peut alors se nourrir lui-même, spirituellement.


La croissance dans l’obéissance

            « Et Samuel servait devant l’Éternel, jeune garçon, ceint d’un éphod de lin. Et sa mère lui faisait une petite robe et la lui apportait d’année en année quand elle montait avec son mari pour sacrifier le sacrifice annuel. Et Éli bénit Elkana et sa femme, et dit : Que l’Éternel te donne des enfants de cette femme, à la place du prêt qui a été fait à l’Éternel ! Et ils s’en retournèrent chez lui. Et l’Éternel visita Anne, et elle conçut, et enfanta trois fils et deux filles ; et le jeune garçon Samuel grandissait auprès de l’Éternel » (1 Sam. 2 : 18-21).

            Anne n’a pas oublié son enfant ; elle n’a pas seulement pensé au moment où l’enfant était avec elle. Ayant laissé l’enfant là, à Silo, devant la maison de l’Éternel, son devoir est-il terminé ? Non, elle a encore un regard sur Samuel. « Dieu a exaucé », c’est ce que veut dire le nom de Samuel. Quand elle prononçait ce nom, Samuel, elle devait penser à sa prière, à son vrai désir et à la réponse de grâce de Dieu, qui lui avait donné ce fils.
            Eh bien, ce Samuel, comment va-t-il ? Elle avait certainement besoin de le savoir parce que chaque année, elle lui apportait une petite robe. Comment savait-elle que cette robe était bonne ? Samuel grandissait, et elle comprenait bien qu’il aurait maintenant chaque année une plus grande taille.
            Mais alors spirituellement, c’est aussi le regard que nous pouvons avoir. Qu’est-ce que nous pouvons donner à notre enfant ? Nous pouvons vraiment lui donner quelque chose qui soit adapté à son âge, à sa compréhension. A quel âge commençons-nous à enseigner nos enfants ? Tout au début, n’est-ce pas : apprendre à être obéissant est quelque chose que l’enfant doit savoir déjà à trois ans. Il doit absolument connaître l’obéissance. Il y a ensuite cet âge où les enfants cherchent à élargir leur liberté. Alors, apprendre d’abord l’obéissance et puis on apprend toujours davantage - on doit apprendre cela à son enfant.

                        Apprendre à être utile

            On peut lui apprendre aussi comment il peut servir. Nos enfants apprennent-ils à servir, à ne pas être égoïstes, à ne pas penser qu’à eux ? Est-ce qu’ils voient chez nous que nous ne pensons pas à nous-mêmes, bien qu’un peu éloignés de nous, comme Samuel qui n’était plus dans la maison de ses parents ; pourtant sa mère prenait toujours soin de lui. Certainement que cette femme de prière a prié aussi le Seigneur : Tu connais mon fils, il est à toi et tu peux vraiment l’employer. - Ce doit être une prière pour nous aussi chaque jour : que le Seigneur fasse que mon fils, ma fille, soit utile pour le Seigneur, que mes enfants soient des jeunes gens qui ont un cœur pour le Seigneur. Et aussi d’ailleurs un cœur pour les frères et sœurs, un cœur pour l’assemblée, qu’ils grandissent encore. Je peux leur faire comprendre encore davantage ce qu’est l’assemblée pour le cœur du Seigneur. Voilà quelque chose que nous pouvons apprendre à nos enfants pour qu’ils soient des enfants « nazaréens » pour le Seigneur et pour marcher après Lui, pour Le suivre.


D’après R. Brockhaus – notes prises lors d’une méditation (août 2015)