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Conservés purs du monde


Attention au relâchement moral !
Rester purs en nous attachant à la vérité et en nous nourrissant de la Parole de Dieu
 

            « Celui qui marche dans la justice, et celui qui parle avec droiture, celui qui rejette le gain acquis par extorsion, qui secoue ses mains pour ne pas prendre de présent, qui bouche ses oreilles pour ne pas entendre parler de sang et qui ferme ses yeux pour ne pas voir le mal - celui-là demeurera en haut… son pain lui sera donné, ses eaux seront assurées. Tes yeux verront le roi dans sa beauté : ils contempleront le pays lointain. Ton cœur méditera la crainte » (Es. 33 : 15-18).


Attention au relâchement moral !

            Ne prétendons pas avec légèreté que le Seigneur est avec nous, s’il y a dans notre marche personnelle - ou collective - des signes évidents et humiliants de faiblesse spirituelle et d’un relâchement moral. Sachons au contraire nous « conserver purs du monde » (Jac. 1 : 27), évitant tout contact impur avec lui et gardant un cœur attaché au Seigneur.
            Nous désirons insister un peu sur de terribles péchés qui cherchent à envahir la place qui appartient au Seigneur seul.

                        Un avertissement pour nous : le récit de la terrible chute de David (2 Sam. 11-12)

            Ce récit nous met en garde contre l’un des moyens dont l’Ennemi se sert pour nous faire tomber, profitant d’un moment de faiblesse spirituelle de notre part. Toutefois, nous avons toujours à notre portée des ressources appropriées pour déjouer les desseins de Satan et être des vainqueurs.
            David, le « doux psalmiste d’Israël », affirme dans le Psaume 101 : « Je marcherai dans l’intégrité de mon cœur au milieu de ma maison. Je ne mettrai pas devant mes yeux une chose de Bélial ; je hais la conduite de ceux qui se détournent : elle (cette chose de Bélial) ne s’attachera point à moi » (v. 2-3). On ne sait pas à quel moment ce roi a composé ce psaume. Mais la Parole de Dieu relate plusieurs drames survenus parmi ses enfants, alors qu’ils habitaient encore chez leur père. Elle nous informe aussi de la terrible chute de David lorsque ce roi a quitté, contrairement à ses habitudes, ses troupes durant le combat. Il se repose dans sa maison et se promène sur son toit. Il aperçoit une très belle femme et l’envoie chercher. Il commet adultère avec Bath-Shéba, la femme d’Urie. Elle lui fait dire peu après qu’elle attend un enfant.
            David fait revenir Urie sous prétexte d’avoir des nouvelles de la guerre en cours. Il tente à deux reprises, mais sans succès, de le faire retourner dans sa maison, vers sa femme. Dépité, il « programme » alors, avec la complicité de Joab, la mort d’Urie, qui est en effet tué. David continue à parler, sans honte, de l’Eternel à son entourage.
            Ce Psaume 101 a été très probablement écrit avant tous ces tristes faits, il rapporte les bonnes intentions de ce croyant, sans doute au début de son règne. Hélas, une chute vient tout gâter. Il en est de même parfois dans nos vies. Soyons vigilants et prions sans cesse. David illustre tristement à quelle ruine la « convoitise des yeux » peut conduire un croyant !
            Dieu intervient dans sa grâce, en constatant que la repentance tarde à se produire chez David ; Il lui envoie Nathan qui parle sans fard à sa conscience. David se repent profondément et il est restauré. Lire, à ce sujet, les Psaumes 32 et 51.
            Mais les conséquences seront très douloureuses. David perdra quatre fils, en commençant par la mort du premier-né de Bath-Shéba. C’est un exemple des terribles conséquences de « la convoitise des yeux » dans notre vie. David a perdu aussi semble-t-il, de sa fraîcheur spirituelle ; plus tard, les paroles adressées à Mephiboseth le montrent.

                        Haïr le mal et le fuir

            Une enquête menée aux Etats-Unis en 2015-2016 a montré que beaucoup de chrétiens consultés ne pensaient pas que la pornographie soit inacceptable ! Certains pasteurs estimaient même que leur addiction n’était pas vraiment incompatible avec l’exercice de leur ministère ! Et pourtant il s’agit d’un grand péché ; c’est une déviation particulièrement grave. Elle s’attaque « en profondeur » à notre être intérieur. On devient esclave de ses pensées et on s’habitue à une pratique impure très malsaine ! Elle avilit peu à peu, souille et finit par détruire même un chrétien qui était connu dans le passé pour sa réelle piété.
            La plus grande fermeté s’impose pour échapper à ce piège dont l’un des aspects est encore la pratique du nudisme qui est largement répandu chez les incrédules. C’est Dieu lui-même qui a revêtu l’homme et la femme - tombés dans le péché - avec des peaux de bêtes (Gen. 3 : 21). La Parole nous invite à nous vêtir d’un costume décent (1 Tim. 2 : 9). Le vêtement est de Dieu (Matt. 6 : 31). Il a voulu couvrir la honte de notre nudité (Apoc. 3 : 18).

                        L’influence néfaste de certaines images sur nos esprits

            Il est devenu inévitable de voir des images indécentes lorsque nous traversons le monde, mais il y a une différence évidente entre les voir et les regarder. Une chose qu‘on voit sans l’avoir cherchée peut être « traitée » immédiatement sous le regard de Dieu. Il faut reconnaître son caractère mauvais et la condamner. Le danger consiste à porter une seconde fois notre regard sur cette image. Arrêter à nouveau nos yeux sur elle conduit à la défaite.
            L’image capte l’attention et l’esprit. Elle remplace de plus en plus l’écrit… et même la parole ! Les logos et les pictogrammes supplantent les mots. Les enseignants constatent un « appauvrissement » de l’imaginaire. Le pouvoir d’imagination et d’expression verbale chez les « enfants » est de plus en plus soumis aux écrans.
            Il y a plus de quarante ans, un penseur chrétien (Ellul) avait annoncé, décrit et dénoncé l’avènement d’une société technicienne et l’emprise de l’image au détriment de la parole. L’image représente, établit, illustre et s’impose ; elle appartient souvent faussement au domaine du réel car elle ne dit pas la vérité, mais au mieux (si elle n’est pas de plus « trafiquée » pour les besoins d’une cause), elle représente l’apparence extérieure. C’est devenu une forme d’idolâtrie. Il convient de souligner particulièrement l’importance de la violence et du sexe. Souvent combinés, ils dominent à l’écran.
            Le Seigneur sait exactement ce qui se forme dans nos pensées et dans notre cœur, longtemps avant que cela devienne visible aux autres. Il convient de fuir autant que possible ce qui nous met en danger dans ce domaine. « Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi » ( (Matt. 5 : 29) - ce qui ne se passe pas sans douleur.
            Par exemple, nos recherches sur Internet doivent être très prudentes. Plus l’on avance dans la liste des sites et plus les choses se dégradent. Restons sans hésitation dans la première partie de la liste. Veillons aussi soigneusement sur les fréquentations de nos enfants. Prenons garde : les premières « suggestions » d’impureté viennent souvent de leurs camarades de classe qui ont, hélas, en général, des parents incrédules.

                        De graves conséquences pour les familles et pour l’assemblée

            Satan excelle dans l’art de conduire une guerre silencieuse et sournoise. Il fait des prisonniers et ils deviennent ses esclaves. Il s’attaque à nos foyers chrétiens et s‘infiltre dans les assemblées ; il se sert de ceux qui sont déjà tombés et sont sous ses ordres. Si l’on sent qu’un « malaise » s'est installé dans l’assemblée, c’est la preuve que le Saint Esprit n’est plus libre d’y agir. Prions alors le Seigneur avec foi. Il nous éclairera sur les raisons, car Il aime son Assemblée et veut non seulement la nourrir, mais aussi la sanctifier.
            Si par exemple un « enfant de Dieu » accepte d’adopter les vues « modernes » très répandues sur la sexualité, il abandonne au moins sur ce point la doctrine de Christ, clairement exposée dans la Parole de Dieu. On s’aperçoit - avec douleur - qu’il ne tarde pas, en général, à ne plus avoir communion avec Christ. Plusieurs sans doute autour de nous se refusent à admettre cette tragique constatation. Cependant, l’état spirituel d’un chrétien qui s’éloigne de Christ ne peut que décliner rapidement.
            N’oublions jamais que Satan a une multitude d’agents secrets à sa disposition. Ils n’agissent pas uniquement dans le « monde ». Jésus lui-même a averti ses disciples que les ennemis d’un homme sont les gens de sa propre maison (Matt. 10 : 36). Ce grand mal est très contagieux, il peut s’introduire dans notre maison. Si un membre de la famille est pris dans les filets de l’Ennemi, ce mal risque fort de se communiquer aux autres.
            Si quelqu’un est tombé dans cet épouvantable piège, quel « genre » de frère peut-il être pour ses frères et sœurs ? Quelles sont ses pensées ? De quel côté ses regards se portent-ils ? Où en est-il dans sa vie personnelle et dans ses prières ? Quelle harmonie peut-il y avoir encore dans sa vie de couple et quel ordre peut-il régner dans sa famille ?
            Celui qui enseignait dans l’assemblée, quel « berger » est-il devenu désormais ? Comment ses paroles pourraient-elles être « choisies », ses conseils et ses enseignements bons ? L’Esprit ne peut plus agir librement en lui, y être cette puissance d’En Haut nécessaire pour l’exercice de son ministère ? L’onction, la puissance divine dans sa vie s’étiole et disparaît.
            Si un tel péché est commis par ce membre de l’Eglise de Christ, un « anathème » se trouve désormais au milieu d’elle. Il faut se souvenir de la parole solennelle de Dieu à Josué : « Je ne serai plus avec vous si vous ne détruisez pas l’anathème du milieu de vous » (Jos. 7 : 12). Il s’agissait, à ce moment-là, du péché d’Acan.

                        Que faire si l’on est tombé dans de tels péchés ?

            Dieu, dans sa merveilleuse grâce, veut toujours venir à notre secours. Il connaît notre faiblesse extrême et nos défaillances répétées. Mais avant d’intervenir en notre faveur, Il veut constater, de notre côté, une confession franche et sincère sur notre véritable état, suivie par l’abandon du péché (Rom. 6 : 15-16).
            Quelle est, chez le croyant, l’action du Saint Esprit « attristé » (Eph. 4 : 30) ? L’Esprit de vérité cherche en priorité à produire une profonde repentance chez celui qui est en chute et le décidera à abandonner ses mauvaises habitudes.
            Le seul espoir est en Jésus. Dieu délivre celui qui se repent et se tourne résolument vers Lui. « Ceux qui sont du Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises » (Gal. 5 : 24). La mort expiatoire du Seigneur sur la croix nous a délivrés de la puissance du péché qui est en nous, dans notre chair. Les jeunes gens doivent suivre l’exemple de Daniel qui arrêta dans son cœur de ne pas se souiller par les mets délicats du roi (Daniel 1 : 8) !


Rester purs en nous attachant à la vérité et en nous nourrissant de la Parole de Dieu

            Jésus seul est la vérité (Jean 14 : 6). Dieu nous a parlé dans le Fils, « le resplendissement de sa gloire et l’empreinte de ce qu’il est » (Héb. 1 : 3). Un chrétien fidèle écoute la Parole de Dieu et surtout il la vit ! Il doit pour cela se conduire comme un disciple de Christ. Tirons de la situation actuelle très humiliante des conclusions fermes, elles doivent porter des fruits dans notre pratique journalière.

                        Ne rien mettre de mauvais devant nos yeux

             « La lampe du corps c’est l’œil ; si donc ton œil est en bon état (simple), ton corps tout entier sera plein de lumière ; mais si ton œil est en mauvais état, ton corps tout entier sera ténébreux » (Matt. 6 : 22-23).
            Il faut aussi se libérer de la dictature de l’image, même si elle peut sembler, à première vue, inoffensive. Nous devons non seulement maîtriser ce qu’elle place sous nos yeux, mais se soustraire à son omniprésence et à sa puissance. Ellul parlait de la nécessité pour un chrétien qui a vraiment le désir de rester fidèle, de se montrer « iconoclaste » - en détruisant les idoles modernes et en « résistant » au mal - dans le sens le plus fort que ces deux termes peuvent avoir. Cherchons à retrouver la primauté de la parole sur l’image.
            Pour un chrétien, ce retour à la vérité est d’abord le retour à la « Parole de Dieu » que ce soit dans l’assemblée ou dans sa vie personnelle. La première place doit être rendue à l’enseignement complet et pleinement suffisant de la Parole de Dieu. Elle est aujourd’hui humiliée par l’existence, et surtout la pratique, de toutes sortes d’idolâtries modernes. Il ne suffit pas d’enseigner la séparation du monde ; ce doit être une réalité dans nos familles !
            Déjà en Eden, en se servant de la « vue » d’Eve, Satan a réussi à semer le doute dans son cœur. Il s’est servi de l’arbre de la connaissance du bien et du mal et a fait miroiter devant les yeux de la femme l’attrait du fruit défendu. Après un premier faux pas d’Eve, qui se laisse séduire par ce qu’elle a vu, l’Adversaire ose contredire ouvertement la Parole de Dieu, et se servir du mensonge pour s’opposer à la vérité de Dieu. L’apparente réalité de ce qui se « voyait » cherchait déjà à contredire la vérité de ce que « dit » la Parole. Satan sème le doute : « Quoi, Dieu a dit ? » (Gen. 3 : 2 ).

                        Veiller sur nos pensées 

            Elles doivent être, selon la volonté de Dieu, sanctifiées. C’est dans les pensées - avant que des paroles ne soient prononcées et que des actions suivent - que tout se joue ! Notre bouche parle en abondance de ce dont nos pensées sont occupées. Il en résulte de bonnes et de mauvaises choses (Matt. 12 : 34).
            Seule la paix de Dieu peut garder nos cœurs et nos pensées dans le Christ Jésus. Paul met en évidence ce qui est digne de remplir nos pensées, en tant qu’enfants de Dieu : « Au reste, frères, tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui est de bonne réputation... que cela occupe vos pensées ». L’apôtre est en exemple, il peut ajouter : « ce que vous avez appris, reçu, entendu, vu en moi, faites-le, et le Dieu de paix sera avec vous » (Phil. 4 : 8-9).

                        Etre sobres dans nos paroles 

            « Ne te presse point de ta bouche, et que ton coeur ne se hâte point de proférer une parole devant Dieu… c’est pourquoi que tes paroles soient peu nombreuses » (Ecc. 5 : 2). Soyons sobres dans nos paroles, sinon nous ferons sans doute la même amère expérience que David (Ps. 39 : 1-3). Le secours d‘En Haut nous est bien nécessaire pour parler et nous taire à bon escient. Nous y pensons en relation avec le sujet qui est devant nous : « car ce qu’ils font en secret, il et honteux même de le dire » ( Eph. 5 : 12 ; 2 Cor 4 : 2). Il faut entièrement renoncer à ces choses, ce qui signifie ne même pas en parler !
            Efforçons-nous plutôt de ressembler à ceux dont parle le livre de Malachie : ils craignaient l’Eternel et ils ont parlé l’un à l’autre ! L’Eternel a été attentif. Ils seront son « trésor particulier » (Mal. 3 : 16-18). Le Seigneur est au fait de toutes nos paroles ; ne répétons pas de vaines litanies dans nos prières (Matt. 6 : 6). Attention à ces paroles honteuses qui pourraient, hélas, sortir parfois de notre bouche (Col. 3 : 8). « Si quelqu’un ne faillit pas en paroles, c’est un homme parfait, capable de tenir aussi tout le corps en bride » (Jac. 3 : 2).

                        Prendre garde à nos actions ou à nos œuvres

            Ces deux mots sont employés dans le Nouveau Testament. Dans l’Ancien Testament, c’est plutôt le mot actes qui est employé. Ces actions ou ces œuvres ont lieu dans notre corps d’abaissement. Il a ce caractère chez le chrétien, en attendant que, tout à l’heure, à sa venue, le Seigneur Jésus le transforme « en la conformité du corps de sa gloire, en déployant le pouvoir qu’Il a de soumettre absolument tout à son autorité » (Phil. 3 : 21).
            Notre corps appartient à Dieu, exactement comme notre esprit et notre âme (1 Thes. 5 : 23) ! Il doit donc être entièrement « sanctifié » et toutes nos actions et nos œuvres doivent avoir le même caractère. Ce corps est chez l’enfant de Dieu le « temple du Saint Esprit » (1 Cor. 6 : 19), qui habite en lui depuis sa conversion. C’est pour ce motif que notre corps aura lui aussi part à la résurrection (Rom. 8 : 11).
            Par l’Esprit de Dieu, nous sommes appelés à faire mourir les actions du corps ; tous les chrétiens sont conduits à agir ainsi (voir Rom. 8 : 13-14 ; Col. 3 : 9). Lire également Eph. 5 : 3-4, 11-12 ; Gal. 5 : 19-20 ; Tite 1 : 19. « La nuit est très avancée et le jour s’est approché ; rejetons donc le œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière » (Rom. 13 : 12).
            D’autres passages des Ecritures mettent en évidence un autre côté, beaucoup plus heureux : « Dieu... rendra à chacun selon ses œuvres : à ceux qui, en persévérant dans les bonnes œuvres, cherchent la gloire, l’honneur et l’incorruptibilité - la vie éternelle » (Rom. 2 : 6-7). Lire aussi : 1 Tim. 2 18, 6 : 18 ; Héb. 10 : 26 ; Apoc. 2 : 26.

            Pour nous croyants, une question très importante se pose constamment : La crainte de Dieu remplit-elle notre cœur ? Pour plaire au Seigneur, nous devons toujours lui rester fidèles. Il nous a sauvés à si grand prix ! Appuyons-nous sur ce que dit Jésus Christ dans sa si belle prière à son Père, en faveur des siens : « Sanctifie-les par la vérité. Ta Parole est la vérité » (Jean 17 : 17).
            Terminons ces réflexions sur l’une des paroles solennelles de l’Ecriture : « Celui qui cache ses transgressions ne prospérera point, mais celui qui les confesse et les abandonne, obtiendra miséricorde » (Prov. 28 : 13).

                            Trésor incomparable, tendre et fidèle ami !
                            
Toi qui seul fus capable de vaincre l’Ennemi !
                            
Garde par ta puissance nos esprits et nos cœurs,
                            
Toi qui, par ta présence, nous remplis de bonheur.

                            Jésus, notre richesse, notre seul vrai bonheur,
                            
Puisqu’en notre faiblesse tu nous gardes, Seigneur,
                            A
 nos cœurs l’Adversaire ne peut ravir la paix,
                            
Ni de l’amour du Père nous séparer jamais.


Ph. L - 23-11-2019