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  LE CHRÉTIEN ET LES RICHESSES INJUSTES DE LA TERRE


L’idole de l’attrait des richesses
Le danger que représentent les richesses matérielles pour le croyant
Les vrais biens du chrétien


            La Parole de Dieu nous avertit, de façon réitérée, que posséder présentement des richesses sur la terre est un grand danger pour un croyant. Ce n’est donc pas vraiment souhaitable, et cela est certainement difficile à gérer selon Dieu, car s’Il nous a confié des richesses dans ce monde, nous sommes responsables d’en faire usage pour le bien (voir 1 Tim. 6 : 17-19). Nous aurons un jour à rendre compte de l'administration de ces « richesses injustes » (Luc 16 : 11) à Celui qui nous a donné les « vraies richesses » en Christ.


L’idole de l’attrait des richesses

            Autrefois, du temps de l’Ancien Testament, avant l’œuvre de la croix, des richesses matérielles pouvaient parfois être une récompense divine. Mais le récit de la vie du roi Ezéchias nous montre qu’un homme pieux et riche comme lui, devait être sur ses gardes. (2 Chr. 32 : 27-29, Es. 39 : 3-7) pour rendre un bon témoignage devant le monde.
            Les richesses font partie des convoitises qui envahissent si facilement un incrédule. Elles deviennent une idole et il doit désormais se plier à sa loi. Cet esclave « consentant » au début, deviendra vite malheureux et obsédé, cherchant continuellement comment conserver ses biens fugitifs.
            Satan, selon son jeu habituel, se tient caché habilement derrière la scène. Il cherche toujours à entraîner l’homme d’une manière ou d’une autre vers l’étang de feu et de soufre, déjà préparé pour lui et les anges qui l’ont suivi dans sa rébellion contre Dieu
            Cette puissance inique de l’argent a été appelée le « Mammon » par Jésus. Il prévient les hommes qu’ils ne peuvent pas servir cette idole et Le servir aussi (Matt. 6 : 24). La plupart, hélas, restent insensibles malgré cet avertissement solennel et s’en vont vers la ruine spirituelle. L’Ecriture a conservé le récit de la vie de plusieurs d’entre eux.

                        Balaam

            Chez ce faux prophète, l’attrait pour l’argent était caché sous un « manteau religieux ». Ses sacrifices rappelaient vaguement les holocaustes qu’Israël offrait à Dieu. Balaam se hâtait de bâter son âne pour un long voyage. Il s’était loué à Balak « à prix d’argent » (Deut. 23 : 4). Il voulait absolument plaire à ce roi de Moab. Son vif désir était de recevoir l’argent qu’il convoitait. Il cherchait à désobéir à Dieu, qui ne voulait pas le laisser maudire Israël. Finalement, il ira là où sa propre volonté le conduit mais Dieu l’obligera à déclarer devant tous, en parlant d’Israël : « Bénis sont ceux qui te bénissent, et maudits sont ceux qui te maudissent » (Nom. 24 : 9). Finalement, victime de son amour pour l’argent, cet esclave de Satan sera tué par l’épée.

                        Guéhazi

            Ce serviteur d’Elisée avait probablement caché jusqu’alors sa cupidité. Mais elle éclate après la guérison volontairement « gratuite » du général en chef de l’armée de Syrie, par le prophète. Naaman retournait dans son pays, mais l’indigne Guéhazi court après lui et, en mentant, lui extorque des vêtements et de l’argent. Il lui importait fort peu de mettre en péril l’œuvre de Dieu dans le cœur de cet homme.
            A son retour, Guéhazi se tient sans honte devant son maître. Elisée l’interroge et il ment encore. Le prophète dénonce sa tromperie, et déclare que la lèpre de Naaman s’attachera à lui et à sa descendance à toujours (2 Rois : 5 : 20-27).

                        Judas

            L’exemple de ce disciple de Jésus est plus solennel encore. Il était prêt à trahir le Seigneur pour une somme dérisoire, car il aimait beaucoup l’argent. Il avait oublié, semble-t-il, tous les soins du Seigneur à son égard, durant plusieurs années. Un terrible maître, Mammon, l’entraînait irrésistiblement vers sa perte. Judas se fait donc le guide de ceux qui veulent se saisir de Jésus (Act. 1 : 16).
            Quand, un peu plus tard, il apprend que Jésus est condamné, il rapporte les trente pièces d’argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens. Ceux-ci restent insensibles devant son remords. Alors Judas décide de se pendre (Matt.27 : 5).

                        Le jeune homme riche

            Les richesses empêchent parfois quelqu’un d’entrer, selon son désir, dans le royaume des cieux. C’était le cas du jeune homme riche dont parlent les évangiles (Matt. 19 : 16-30 ; Marc 10 : 17-31 ; Luc 18 : 18-30). Il a fait part à Jésus de son désir personnel, mais il ignorait visiblement son état de pécheur perdu et se croyait capable de faire le nécessaire pour obtenir ce qu’il voulait. Il croyait sans doute avoir suffisamment gardé la Loi pour être digne de recevoir la vie éternelle. Mais on ne peut pas la mériter. « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». La vie éternelle est un don gratuit de la grâce de Dieu à celui qui se reconnaît pécheur devant Lui (Rom. 3 : 23).
            Le Seigneur lit dans notre cœur (Héb. 4 : 13). Il savait que ce jeune homme avait de grands biens, auxquels son cœur était fort attaché. Pourtant Il aimait son interlocuteur, comme Il aime tous les autres hommes. Il aurait voulu le délivrer de cette lourde chaîne et lui conseille : « Va, vends tout ce que tu as, donne aux pauvres et tu auras un trésor dans le ciel, et viens, suis-moi ».
            Mais ce jeune homme riche n’est pas disposé à agir ainsi et s’en va « tout triste ». Il n’a pas saisi cette occasion, peut-être unique. Une très exigeante idole intérieure l’entraînait vers sa perte.

                        Ananias et Sapphira           

            Le chapitre 4 des Actes montre l’action de l’Ennemi, au dehors, contre la vérité. Le chapitre suivant montre son œuvre au dedans pour corrompre, si possible, l’Assemblée. Un couple chrétien, Ananias et Saphira, est entraîné à mentir ; ils voulaient avoir une apparence de piété en imitant ceux qui avaient vendu par amour leurs biens et mis tout l’argent aux pieds des apôtres. Mais dans leur cupidité, Ananias et Sapphira gardent secrètement une partie de l’argent pour eux. Pierre les reprend avec une sainte indignation, et aussitôt ils sont, l’un après l’autre, frappés par la main de Dieu. Une grande crainte s’empare des assistants.


Le danger que représentent les richesses matérielles pour le croyant

            Les richesses peuvent, hélas, remplir un cœur, même celui d’un chrétien, sans jamais le satisfaire. « Celui qui aime l’argent n’est jamais rassasié par l’argent et celui qui aime les richesses ne l’est pas par le revenu » (Ecc. 5 : 10).
            Salomon avait plus de richesses qu’aucune autre personne n’en a jamais eu sur cette terre. Expérience faite, il déclare qu’elles ne sont que vanité. D’ailleurs, tout est vanité ici-bas, malgré toutes les prétentions de l’homme.

                        Les exhortations de l’apôtre Paul (1 Tim. 6)

            « Nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n’en pouvons rien emporter. Alors, ayant nourriture et vêtement, nous serons satisfaits. Mais ceux qui veulent devenir riches tombent en tentation et dans un piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition » (v. 6-9). Dans l’Ancien Testament ce mot « richesses » se traduit parfois par « ce qui est lourd ». Un riche, à la fin de sa vie, estimait à juste titre qu’il n’y avait pas de personne plus pauvre que celle qui avait des richesses.
            « C’est une racine de toutes sortes de maux que l’amour de l’argent : pour s’y être livrés, certains se sont égarés de la foi et se sont eux-mêmes transpercés de beaucoup de douleurs » (v. 10). Ces exhortations s’adressent à tous les hommes. Toutefois, seuls les enfants de Dieu peuvent montrer que « la piété, avec le contentement, est un grand gain » (v. 6).
            Cherchons à cultiver une si heureuse disposition d’esprit ; elle se trouve souvent chez des croyants qui sont pourtant dans la misère ! Chers rachetés du Seigneur, faisons-nous partie des chrétiens toujours joyeux, même emprisonnés (Phil. 4 : 4). C’est un témoignage à la gloire de Dieu rendu à notre entourage (Act. 4 :13).
            A la fin du chapitre, guidé par le Seigneur, l’apôtre Paul donne encore à Timothée un message destiné à ceux qui sont riches parmi les chrétiens dans le présent siècle, sur la terre. Ils ne doivent pas être hautains, mais porter la merveilleuse parure de l’humilité ; ne pas mettre - comme les incrédules le font - leur confiance dans l’incertitude des richesses, mais en Dieu ! Paul ajoute : « Qu’ils fassent du bien ; qu’ils soient riches en bonnes œuvres ; qu’ils soient prompts à donner, généreux, s’amassant comme trésor un bon fondement pour l’avenir, afin de saisir ce qui est vraiment la vie » (1Tim. 6 : 17-19).
            Retenons à ce sujet les paroles d’Elisée : « Est-ce le temps de prendre de l’argent, et de prendre des vêtements, et des oliviers, et des vignes... ? » (2 Rois 5 : 26). N’oublions pas que l’argent et tout ce que nous avons ne nous appartient pas ; nous sommes les intendants de notre Maître. Le vrai gain durable pour un chrétien, c’est de vivre dans la piété.

                        L’avertissement de l’apôtre Jacques (Jac. 5)

            Jacques s’adresse essentiellement à des riches incrédules : « A vous maintenant, riches ! Pleurez, poussez des cris, à cause des malheurs qui vont venir sur vous. Vos richesses sont pourries et vos vêtements sont rongés par les vers ; votre or et votre argent sont rouillés, et leur rouille sera en témoignage contre vous, elle dévorera votre chair comme le feu : vous avez amassé un trésor dans les derniers jours.Voici, le salaire de vos ouvriers qui ont récolté dans vos champs et dont vous les avez frustrés crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus aux oreilles du Seigneur Sabaoth (ou : l’Eternel des armées). Vous avez vécu dans les délices de la terre, et vous vous êtes livrés aux voluptés ; vous avez rassasié vos cœurs comme en un jour de sacrifice ; vous avez condamné, vous avez mis à mort le juste : il ne vous résiste pas » (v. 1-6).
            Ce réquisitoire a-t-il enfin toucher la conscience et le cœur de telles personnes « étrangères à la vie de la foi » ? Prov. 18 : 11-12 fait craindre le contraire. En effet, « les biens d’un riche sont sa ville forte, et comme une haute muraille, dans son imagination. Avant la ruine, le cœur de l’homme s’élève ». Où peut mener cet orgueil insensé qui peut se cacher en nous ? Il est particulièrement choquant de voir un chrétien cherchant à amasser des biens terrestres dans ces « derniers jours » auxquels nous sommes parvenus. Pouvons-nous reprendre à notre compte les paroles de ce cantique ?

        Si les biens de la terre prétendent m’arrêter,
        
Sa puissance infinie me les fait rejeter.
 

Les vrais biens du chrétien

            Avons-nous oublié que les vrais biens d’un chrétien sont cachés dans les cieux ? Démas, en dépit de son grand privilège d’être l’un des compagnons de Paul, a aimé le présent siècle mauvais ; bien qu’il ne soit pas dit que les richesses l’ont attiré, il a abandonné l’apôtre et il est devenu un mondain.
            Prenons conscience de l’état moral catastrophique dans lequel se trouve ce monde : il a rejeté Dieu et tremble sur ses bases (Ps. 11 : 3). Ceux qui « habitent sur la terre », dont parle si souvent l’Apocalypse (4 : 3, 17 : 2, 8) subissent avec leurs biens accumulés durant des années, des faillites brutales, des vols d’une ampleur parfois considérables, des dévaluations inattendues…
            Tout cela est de nature à avertir ceux qui possèdent de grands biens de l’inanité de leurs efforts. Mais très souvent l’homme ne prend pas Dieu pour sa force ; il se confie dans ses richesses et son avidité ne cesse pas d’augmenter (Ps. 52 : 7). Cependant, rien n’est durable sur la terre, tout sera finalement brûlé par le feu du jugement divin.
            Pouvons-nous affirmer avec le psalmiste : « Mais moi, je suis dans la maison de Dieu comme un olivier vert. Je me confierai dans la bonté de Dieu, pour toujours et à perpétuité. Je te célébrerai à toujours car tu l’as fait, et je m’attendrai à ton nom, car il est bon devant tes saints » (v. 8-9) ?
            Salomon recommande à chacun : « Ne te fatigue pas à acquérir des richesses… Jetteras-tu les yeux sur elles ?... Déjà elles ne sont plus ; car certes elles se font des ailes et, comme l’aigle, s’envolent vers les cieux » (Prov. 23 : 4-5).
            Souvent mal acquises - injustes, donc -, elles font pourtant partie des « fleurons » recherchés dans ce monde. On s’incline avec respect devant ceux qui les possèdent, restant facilement sourd et aveugle devant l’immoralité et la corruption, si courantes ici-bas. Or même si l’on cherche à se soustraire à la présence divine - « Où fuirais-je loin de ta face » ? (Ps. 139 : 7) -, Dieu est partout et rien ne lui échappe. Il faudra bientôt comparaître devant Lui.
            Si nous ne sommes pas en règle avec Lui - lavé de nos péchés par le sang de Christ répandu -, il faudra répondre de sa conduite devant le grand trône blanc. La condamnation sera suivie d’une éternité de souffrance, loin de Celui dont a été refusée l’offre de salut miséricordieuse (Héb. 9 : 27 - Apoc. 20 : 11-15).
            Par manque de vigilance, ou attiré par les plaisirs de ce monde, un croyant peut vouloir acquérir ces richesses qui lui ouvriront bien des portes. Elles prennent peu ou prou la place qui, chez un enfant de Dieu, Lui appartient de droit. L’Ecriture met en garde : « Si les biens augmentent, n’y mettez pas votre cœur » (Ps. 62 ; 10). Il faut veiller avec soin sur lui (Prov. 4 : 23).
            A la fin de la première épître aux Thessaloniciens, l’apôtre Paul, que la sollicitude pour toutes les assemblées tenait assiégé dans son cœur (2 Cor. 11 : 28), exprime ce souhait : « Que le Dieu de paix lui-même vous sanctifie entièrement ; et que votre esprit, votre âme et votre corps tout entiers soient conservés sans reproche à la venue de notre Seigneur Jésus Christ. Celui qui vous appelle est fidèle, et Il le fera » (1 Thes. 5 : 23-24). Celui qui nous a rachetés tout entiers (esprit, âme et corps) veut aussi que la sainteté s’attache à tout notre être. Nous devons chercher à marcher et à plaire à Dieu, faire des progrès dans la sainteté (4 : 1-3).

                        Les richesses « injustes »

            Le Seigneur a ajouté deux fois le qualificatif « injustes » aux richesses - littéralement au Mammon de l’injustice (Luc 16 : 9, 11). Cette expression ne se trouve pas ailleurs dans la Parole. Jésus conseille à ses disciples de se faire des amis avec ces richesses injustes, afin, leur dit-il, que quand vous viendrez à manquer – il semble d’après l’original qu’il s’agit de biens terrestres - vous soyez reçus dans les demeures éternelles. Un commentateur a écrit : « Les biens qui sont encore entre les mains du croyant, il doit en user en vue du ciel, non pour s’y assurer une place, mais afin de trouver là, pour l’éternité, les conséquences de l’usage qu’il en aura fait » (S. Prodhom). « Celui qui est fidèle dans ce qui est très petit, est fidèle aussi dans ce qui est grand ; et celui qui est injuste dans ce qui est très petit (les richesses – selon l’appréciation divine) est injuste aussi dans ce qui est grand. Si donc vous n’avez pas été fidèle dans les richesses injustes, qui vous confiera les vraies (celles du ciel, les seules vraiment « grandes ») ? » (Luc 16 : 10-11)
            Si un chrétien se montre injuste dans ses relations avec autrui, dans ce qui est courant dans ce monde (acheter, vendre), qui lui donnera ce que l’Ecriture appelle ici « le vôtre » ? Il s’agit très vraisemblablement de nos vrais biens célestes. Ils sont déjà la part éternelle du croyant (Luc 16 : 9-10).

                        Chercher premièrement le « royaume de Dieu »

            Le Seigneur nous montre encore par une parabole ce que sont les raisonnements d’un l’homme, déjà riche (Luc 12 : 16-21), qui cherche à s’assurer sécurité, confort, plaisirs et insouciant repos. Quel piège pour l’âme ! Il n’y a aucune sécurité en dehors de Dieu. Le Seigneur nous enseigne à « chercher d'abord le royaume de Dieu et sa justice ». Il nous assure que toutes ces choses pour lesquelles on se dépense sur la terre, nous serons données par-dessus (Matt. 6 : 33). L’homme riche qui, sans fin, agrandit ses greniers, pense obtenir ainsi du repos ; mais l’avarice et l’égoïsme ne donnent ni repos, ni paix.
            De plus, tous ces trésors assemblés pour soi-même dans une vie égoïste sont sans valeur pour le ciel. Or, il nous faut devenir « riches quant à Dieu » (Luc 12 : 21) durant notre vie sur la terre. Qui peut donc nous donner ces richesses, « un trésor qui ne défaille pas, dans les cieux, d’où le voleur n’approche pas » ? Christ seul le peut ! Il est Celui qui, « était riche, a vécu dans la pauvreté, afin que par sa pauvreté nous soyons enrichis » (2 Cor. 8 : 9).
            Dans le triste état final de la chrétienté, on dira : « Je suis riche, et je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien… ». Le Seigneur avertit ces âmes aveuglées : « Tu es… pauvre ». Il ajoute : « Je te conseille d’acheter de moi de l’or passé au feu, afin que tu deviennes riche… » (Apoc. 3 : 17 et 18). Ce n’est qu’en passant par Jésus que l’on devient riche quant à Dieu. Son « or » est passé au feu du jugement. Il a souffert une fois pour toutes pour nous, Lui, le Juste pour nous les injustes afin de nous amener à Dieu, revêtus de Sa justice (1Pier. 3 : 18).

                    Ta justice parfaite et pure,
                    
O Dieu Sauveur, est la beauté
                    
Et la glorieuse parure
                    
Du pécheur par toi racheté.

            « Grâces à Dieu pour son don inexprimable ! » (2 Cor. 9 : 15). Il nous a donné son Fils et « toutes choses avec Lui » (Rom. 8 : 32). L’amour est la source de toutes les vraies richesses ; elles se trouvent uniquement en Dieu.


Ph. L – Le 23-10-2019