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Toute sa personne est désirable
 
 
« Ton bien-aimé qu'est-il de plus qu'un autre bien-aimé . . . ? Toute sa personne est désirable… De quel côté ton bien-aimé s'est-il tourné ? Et nous le chercherons avec toi » (Cant. 5 : 9, 16 ; 6 : 1).
 
« Christ a souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces » (1 Pier. 2 : 21).
 
 
            Il est impossible d'établir une comparaison entre le Seigneur et quiconque d'autre sur la terre : il faut reconnaître que toute prétendue grandeur est gâtée par un côté mesquin, toute autre sagesse que la Sienne est, hélas, entachée d'un peu de folie (Ecc. 10 : 1). Toute autre disposition à la bonté se révèle imparfaite, vite limitée. Jésus Christ est vraiment le seul duquel un chrétien peut sans crainte affirmer : Tout, dans sa Personne adorable, est amour, grandeur et beauté.
            Contemplons un instant son humanité parfaite, dont la Parole de Dieu, et en particulier les Evangiles, nous donne un récit merveilleux. Il a « participé » à la chair et au sang. Sur cette terre, Il a été le second Homme, celui qui a répondu à l'attente de Dieu. Il a été manifesté semblable à nous en toutes choses, à part le péché (Héb. 2 : 14).
 
 
            Pour résumer la prime jeunesse de Jésus, l'Ecriture déclare : « l'Enfant croissait et se fortifiait, étant rempli de sagesse ; et la faveur de Dieu était sur lui » (Luc 2 : 40). Son humanité était parfaitement naturelle dans son développement.  Encore enfant, alors qu'Il est resté dans le temple, assis au milieu des docteurs, Jésus déclare à ses parents qui le cherchent : « Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il me faut être aux affaires de monre » ? Ce père n'était pas celui que les hommes lui attribuaient, mais Dieu lui-même. Toutefois, Il descend ensuite avec ses parents à Nazareth. « Il leur était soumis » ; sous la loi, il le sera comme quelqu'un de parfait (Luc 2 : 49-51). C'est dans cette humble bourgade, où Il a choisi de naître, Lui qui seul a eu devant lui ce choix. Il va y travailler méconnu, jusqu'à l'âge d'environ trente ans, exerçant, avec Joseph, le métier de charpentier (Marc 6 : 3 ; Matt. 13 : 55).
          
 
            Puis Il commence son service entièrement dévoué, que résument ces paroles : « Le zèle de ta maison m'a dévoré » (Ps. 69 : 9). Nos coeurs, si souvent brisés par les épreuves du chemin, sont saisis de le voir exprimer ses compassions devant les conséquences du péché et le pouvoir de la mort sur l'esprit de l'homme (Jean 11 : 33 : voir la note dans la version JND). Celui qui était seul la résurrection et la vie, pleure au tombeau de Lazare, avant de ramener celui-ci à la vie. Il pleurera plus tard sur cette ville de Jérusalem, objet de ses affections ; c'est là que les hommes, dans leur haine tenace, vont le crucifier (Jean 11 : 35 ; Luc 19 : 41).
           
 
           
            Jésus est vu constamment en prières : un témoignage irréfutable est ainsi rendu à sa dépendance de Dieu (Marc 1 : 35 ; Luc 6 : 12 ; 9 : 29 ; Luc 22 : 41, 44…). Il est toujours rempli d'amour à l'égard de ceux qui s'approchent, de ces foules accourues pour l'entendre et être guéries (Jean 13 : 1 ; Marc 10 : 21). Etant parfaitement homme, Il sympathise avec nos infirmités : il a été tenté en toutes choses comme nous, à part le péché (Héb. 4 : 15).
            Aussi, avec Thomas, saisis d'admiration, nous pouvons nous écrier : « Mon Seigneur et mon Dieu » ! (Jean 20 : 28). Il est l'objet de la révérence et de l'adoration des siens. Il s'est identifié avec ceux qui l'entouraient, établissant avec eux une relation si intime. Vivant dans sa proximité, Marthe lui fait librement part du trouble qui envahi ses pensées ; elle ose même lui faire une sorte de reproche parce qu'elle est persuadée qu'Il aurait dû intervenir en sa faveur. Mais Jésus lui montre qu'elle a une leçon à apprendre ; une autre scène prouvera qu'elle l'a apprise : elle servira alors joyeusement, sans murmure (Jean 12 : 2).
 
            Ecoutons-Le parler à nos coeurs : Il est la Vérité (Luc 10 : 40) ! Jean a eu le merveilleux privilège de Le voir, usant de sa puissance divine pour ressusciter des morts, pour arrêter d'une seule parole la tempête. Il l'avait aussi entendu parler avec Moïse et Elie sur la sainte montagne, quand « Il reçut de Dieu le Père honneur et gloire » (2 Pier. 1 : 17). Ce disciple n'hésite pas, dans la confiance que lui inspire son amour, à se pencher sur la poitrine de Jésus : il lui pose la question à laquelle tous, autour d'eux, attendent avec anxiété la réponse (Jean 13 : 25). Pierre a compris un peu la dignité du Seigneur. Il lui semble impossible que son Maître s'abaisse au point de prendre la place d'un esclave, pour ôter la souillure contractée par les siens dans leur marche. Alors il commence par refuser énergiquement de se laisser laver les pieds ! Mais Jésus l'avertit que sans cela, il lui est impossible d'avoir une part avec Lui. Subitement, avec son caractère fougueux et versatile, Pierre se ravise, et voudrait que le Seigneur lui lave aussi les mains et la tête, ce qui n'était pas nécessaire pour un disciple qui avait déjà tout le corps lavé (Jean 13 : 6-10).
 
            Tour à tour, les disciples viennent poser au Seigneur des questions parfois sans intelligence. Nous agissons souvent comme eux ! Il répond habituellement avec douceur (Marc 8 : 16-18). Toutefois, Pierre devra être repris avec sévérité ; c'est un avertissement pour chacun des rachetés du Seigneur.
            Pierre vient de parler comme « oracle de Dieu » en affirmant : «  Tu es le Christ, le fils du Dieu vivant » (1 Pier. 4 : 11). Jésus peut lui dire devant tous : «  Tu es bienheureux, fils de Barjonas, car la chair et le sang ne t'ont pas révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux » (Matt. 16 : 16-17). Il a montré qu'il avait été lui aussi, un instant en tout cas, en communion avec le Père au sujet de son Bien-aimé. Or soudain il va, hélas, contredire le Seigneur qui commence à prévenir ses disciples qu'il lui faut aller à Jérusalem pour y souffrir beaucoup de la part des anciens et des principaux sacrificateurs, et être mis à mort et ressusciter le troisième jour. Pierre le prend à part et s'insurge : «  Seigneur, Dieu t'en préserve, cela ne t'arrivera point » ! (Matt. 16 : 21-22). Cette parole semble dictée par le coeur du disciple plein d'amour pour son Maître. Le Seigneur a discerné l'activité de l'ennemi qui se présente comme un ange de lumière redoutable, en lui suggérant par la voix de son disciple, de se détourner du but assigné. Jésus reprend alors sévèrement Pierre : « Va, arrière de moi, Satan, tu m'es en scandale ; car tes pensées ne sont pas aux choses de Dieu, mais à celles des hommes » (Matt. 16 : 16-18 ; 22-23). Faute de veiller en ressentant la faiblesse de notre esprit, l'ennemi essaiera rapidement de détourner nos pensées, pour introduire les siennes. Pour plaire à Dieu, nos pensées ne doivent-elles pas toujours être « amenées captives à l'obéissance de Christ » ? (2 Cor. 10 : 5).
 
            Avec le plus grand soin, Jésus s'occupe de ses disciples, selon sa juste connaissance de  tous leurs besoins : tour à tour, il les exhorte, les reprend, les apaise et les rassure. Il répond de façon parfaite à leurs craintes, aussi rémanentes que les nôtres. Il leur montre inlassablement les ressources incomparables de son amour !
            Faut-il rappeler à nos coeurs qu'il n'y a pas en lui de variation, ni d'ombre de changement : Il entre toujours avec la même simplicité, le même discernement, dans chacune de nos circonstances. On pourrait objecter que la vie, au temps où Jésus était sur la terre, paraît si différente de celle que l'on connaît maintenant. Dans son amour divin, Il s'est abaissé volontairement tout près de sa créature. Ne connaît-il pas toujours parfaitement tout ce qui la concerne : « La parole n'est pas encore sur ma langue, que voilà, ô Eternel ! tu la connais tout entière » (Ps. 139 : 1-6) ? 
            Sa beauté nous attire toujours davantage : elle est d'une perfection invariable (Ps. 45 : 2). Il n'y a en Lui rien d'austère ni d'inaccessible, tout au contraire ! Sa présence réalisée fait brûler le coeur.
 
            Face à l'indignation feinte des scribes et des pharisiens, Jésus recevait les pécheurs qui étaient attirés vers lui et Il mangeait avec eux ! Combien de personnes sont davantage portées à se retirer des pécheurs que du péché ! On est si vite persuadé, sans le laisser paraître, d'une certaine supériorité. Il faut alors entendre le Seigneur nous dire, comme à ces pharisiens remplis de suffisance : « Mais maintenant, vous dites : nous voyons ! – votre péché demeure » (Jean 9 : 41).
 
            Le Seigneur est toujours le grand médecin des âmes. Il est prêt à recevoir de nuit un Nicodème, docteur de la loi. Fier de sa position, celui-ci répugne à être vu en compagnie de Jésus. Pourtant, les besoins de son âme le poussent vers Lui ; alors, avec fidélité et douceur, le Seigneur lui montre combien grande est son ignorance. La Parole poursuivra son action, jusqu'à ce que ce coeur soit enfin dépouillé de toute prétention. Nicodème deviendra à la croix un vrai témoin, prêt à s'exposer devant tous publiquement.
 
            Jésus s'occupe avec la même bonté de Marie de Magdala, de laquelle il chasse sept démons (Marc 16 : 9) ! Il est ému de compassion devant les foules : « ils étaient las et dispersés, comme des brebis qui n'ont pas de berger » (Matt. 9 : 36). Il l'est aussi devant la détresse de la pauvre veuve de Naïn, qui a perdu son fils unique (Luc 7 :12), et devant celle du chef de synagogue, dont la fille vient de mourir à l'âge de douze ans (Matt. 9 : 24-25). La résurrection de cette jeune fille aura, entre autres, une application prophétique. Le Seigneur est vu ici en chemin pour redonner la vie à son peuple Israël : il y a en lui la puissance pour guérir « toute maladie et toute langueur » (Matt. 9 : 20, 35).
 
            Il s'occupe aussi d'un homme de Gadara : une armée de démons s'est complètement emparée de sa volonté. C'est en vain que l'on a cherché à le maîtriser ! Quelle image des vains efforts de la société pour réfréner les passions humaines ! Mais quel changement quand la délivrance opérée par le Seigneur intervient (Eph. 2 : 1-6). Les gens de la ville sont émerveillés de le retrouver assis, vêtu et dans son bon sens, aux pieds de Jésus (Luc 8 : 27-35). Son immense bonté s'exerce également à l'égard de ces cinq mille hommes affamés, venus entendre la Parole de Dieu. « Jamais homme ne parla comme cet homme» ! En sorte qu'ils oublient de satisfaire les besoins de leurs corps, comme ce fut si souvent le cas pour le Seigneur durant son ministère (Marc 8 : 1-9 ; 6 : 31). La parole prophétique se réalise : « Je bénirai abondamment ses vivres, je rassasierai de pain ses pauvres » (Ps. 132 : 15).
            Quelqu'un a-t-il pu surprendre Jésus en train d'opérer un choix, pour s'occuper des plus « méritants » ? Bien au contraire, Il guérissait tous ceux qui se portaient mal (Matt. 8 : 16 ; 12 : 15). Continuellement, sa grâce coulait en abondance, jointe à sa sympathie. Pourquoi toucher un pauvre lépreux, qu'il aurait pu guérir en prononçant une seule parole, comme dans d'autres cas (Matt. 8 : 8, 13) ? Cet homme était rejeté par la société, séparé des siens : il n'avait plus le comportement habituel d'une personne humaine : « les vêtements déchirés et la tête découverte », il devait crier : « Impur ! Impur ! », tandis que sur son passage chacun s'écartait à la hâte. Il était contraint d'habiter seul, hors du camp (Lév. 13 : 45-46). S'approcher de lui, c'était contracter sa souillure. Mais ici, au contraire, le lépreux s'approche sans crainte et se prosterne devant Jésus. Il lui dit : « Seigneur, si tu veux, tu peux me rendre net ». Il connaît le pouvoir de Jésus. Doute-t-il de son amour ? Jésus, étendant sa main, le touche, en disant : « Je veux, soit net » ! Aussitôt il est nettoyé de sa lèpre (Matt. 8 : 2-3).
 
            Suivons encore Jésus au puits de Jacob, à l'heure de midi. Eprouvant la faim et la soif, le Fils de Dieu, dans cet abaissement inconcevable, s'y assied, lassé du chemin. Une femme s'approche pour puiser de l'eau ; alors, pensant au salut de sa créature, Jésus lui demande un service afin de gagner sa confiance : « Donne-moi à boire » (Jean 4 : 8). Avec quelle patience et quel amour le Sauveur lui présente la Vérité : lui qui est le merveilleux don de Dieu, connaît pour elle cette eau vive ! Avide de bonheur, comme nous le sommes tous, cette femme a cherché en vain à étancher sa soif aux eaux décevantes de ce monde. Toujours, elle a toujours eu à nouveau soif. Le Seigneur met le doigt sur ce qui n'est pas en ordre dans sa vie. La lumière doit pénétrer d'abord dans sa conscience. La grâce en Jésus est inséparable de la vérité. Gagnée, transformée, elle invite les hommes de la ville : « Venez, voyez un homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait, celui-ci n'est-il point le Christ ? » (Jean 4 : 28-29). C'est à elle, c'est à tous ses rachetés qu'il appartient désormais d'être de vrais adorateurs. Cette scène montre où Jésus puisait ses forces et ses joies, dans la communion avec son Père et dans les perspectives de la moisson.
 
            Une autre femme surprise en adultère, gravement coupable aux yeux de tous, est conduite au Seigneur pour qu'il prononce lui-même la sentence. Ses ennemis, les scribes et les pharisiens, veulent lui tendre un piège, mais Il déjoue leur malice. Par lui sont venues la grâce et la vérité que tous connaissent (Luc 4 : 22). S'Il l'épargne, n'est-ce pas au détriment de la vérité en contradiction avec la loi ? Dans sa sagesse infaillible, Jésus montre que cette loi les atteint tous. La lumière du monde est devant eux (Jean 8 : 12) mais « les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière ». Au lieu de confesser leurs péchés, les accusateurs se retirent un à un. Jésus est le seul qui, sans péché, aurait eu le droit d'exercer le châtiment. Or Il déclare à la femme : « Moi non plus je ne te condamne pas ». Il ajoute : « Va, - dorénavant, ne pèche plus ». En parlant à cette personne qui reste muette, murée dans son désespoir, Il utilise le même mot ("femme") que celui avec lequel Il s'adressera à sa propre mère sur la croix (Jean 8 : 10-11 ; 19 : 26).
 
 
            C'est au milieu des souffrances insondables de la croix, que le Seigneur entend et répond au cri de cet homme crucifié à ses côtés. Avec foi, à la dernière heure, celui-ci se tourne vers Jésus. Après avoir publiquement reconnu que le châtiment qu'il subissait était justifié, il déclare : « Celui-ci n'a rien fait qui ne se dût faire ». Puis il dit à Jésus  : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu reviendras dans ton royaume », supplique qui reçoit cette merveilleuse réponse : « Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 : 42-43). Autrefois, au retour de leurs guerres victorieuses dans les pays voisins, les conquérants aimaient à attacher à leur char leurs principaux captifs, comme les trophées de leur triomphe. Il suffisait à Christ de ramener avec lui au ciel ce brigand converti. Sur la croix, Il goûtait déjà le premier fruit du terrible travail de son âme !   
 
            Apprenons à imiter Jésus dans son chemin de profonde humilité ; ainsi, les coeurs les plus durs seront brisés par l'amour qui leur sera manifesté. Contemplons sa douceur et adorons Celui qui « lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas l'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement » (1 Pier. 2 : 23). Il a été amené comme un agneau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent, et il n'a pas ouvert sa bouche (Es. 53 : 7).
 
            Il y a un équilibre parfait dans ses perfections variées. Sa douceur n'était jamais de la faiblesse, son courage moral n'était jamais de la dureté. Voyons-Le à travers toutes ces scènes qui ont suivi son arrestation et accompagné sa crucifixion. Contemplons l'Homme parfait devant le Souverain sacrificateur, devant Pilate et devant Hérode. Il est revêtu par dérision d'un vêtement de pourpre et d'une couronne d'épines. Il est flagellé, chacun lui crache au visage et lui donne des soufflets. Objet de dérision, injurié grossièrement, il est mis au défit de reconnaître qui l'a frappé (Matt. 26 : 68). Mais au cours de ces scènes honteuses, sa gloire morale brille de son plus vif éclat. En toute circonstance, il garde son calme, sa grande dignité. Même au moment où les hommes le crucifient : « Ils ont percé mes mains et mes pieds » (Ps. 22 : 16), aucune plainte ne sort de ses lèvres. Quelle grâce insondable dans ses paroles : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font » (Luc 23 : 33-34) ! 
 
 
 
  
            En Jésus, tout montait vers Dieu comme un sacrifice de bonne odeur. En lui seul, le psaume trouve son application : « Tu as sondé mon coeur, tu m'as visité de nuit ; tu m'as éprouvé au creuset, tu n'as rien trouvé ; ma pensée ne va pas au-delà de ma parole » (Ps. 17 : 3). « Chacune des expressions de ce qu'Il était en lui-même, quelle qu'elle soit, même la moindre, et quelle que soit la circonstance à laquelle elle se rattache, tout était un parfum d'encens » (J-G.B.). La voix divine qui venait des cieux, de la nuée, s'adresse à chacun d'entre nous : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai trouvé mon plaisir ; écoutez-le » (Matt. 3 : 17 ; 17 : 5).  
 
                                                                                               Ph.L. 7. 11. 06

       Jésus, Fils bien-aimé du Père,                          A toi, Jésus, nul n'est semblable,
      
Qui t'es abaissé jusqu'à nous,                          Car toi seul est la vérité ;
      
A tous les enfants de lumière,                         Tout, dans ta Personne adorable,          
      
Que ton saint nom est grand et doux !              Est amour, grandeur et beauté.