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En vérité, cet homme était juste

Alors qu’il (Pilate) siégeait au tribunal, sa femme lui envoya dire : N’aie rien à faire avec ce juste ; car j’ai beaucoup souffert aujourd’hui à son sujet dans un songe (Matt. 27 : 19).

Nous recevons ce que méritent les actes que nous avons commis ; mais celui-ci n’a rien fait qui ne doive pas se faire (Luc 23 : 41).

 
Voyant ce qui était arrivé, le centurion glorifia Dieu en disant : En vérité, cet homme était juste (Luc 23 : 47).


 
            Au moment de la mort du Seigneur Jésus, trois personnes auxquelles on n’aurait jamais pensé ont affirmé qu’Il était juste.

 
                - La femme de Pilate a rendu ce témoignage surprenant avant que le Seigneur Jésus soit condamné à être crucifié ; elle a insisté vivement auprès de son mari pour qu’il n’ait rien à faire avec « ce juste ». Pourquoi Pilate n’a-t-il pas écouté ? Lui-même ne trouvait en effet aucun crime en Jésus. Pourtant, devant l’insistance des sacrificateurs, qu’il savait tout à fait injuste, il a cédé et a livré le Seigneur Jésus pour être crucifié.

                - Le brigand s’était d’abord moqué du Seigneur Jésus. Mais quand cet homme a entendu ces paroles : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23 : 34), il a été manifestement réveillé ; il a réalisé que Christ n’avait rien fait de mal. Un tel témoignage de la part d’un brigand agonisant aurait dû avoir un impact considérable sur tous ceux qui l’ont entendu.

 
                - Le centurion romain, désigné comme exécuteur du Seigneur Jésus, avait certainement été témoin de bien des crucifixions, mais jamais d’un cas semblable. Il en a été tellement affecté qu’il a déclaré sans détours ce que d’autres savaient également être vrai : le Seigneur Jésus était un Homme « juste ». Seule la haine de la vérité, froide et sans cœur, pouvait refuser de tenir compte d’un tel témoignage.

 
                                                                                 L. M. Grant

                         
                        En ce lieu de supplice,
                        Entre deux malfaiteurs,
                        Les coups de la justice
                        T’ont frappé, cher Sauveur.
                        Mais quel était ton crime ?
                        Pourquoi ce châtiment ?
                        Toi la sainte Victime,
                        Tu étais innocent.